Le cadeau insolite de Poutine à Kim Jong-Un, vous n’en croirez pas vos yeux
En plein rapprochement diplomatique depuis le début de l’année 2024, la Russie et la Corée du Nord multiplient les accords. À tel point, que la première a décidé d’envoyer un cadeau pour le moins surprenant à son allié.
La diplomatie animale
La décision russe de mettre son veto au prolongement du mandat du comité d’experts chargé de surveiller les sanctions contre la Corée du Nord a suscité un tollé international. D’autant plus que le pays d’Asie de l’Est a déclaré se préparer à la guerre. Cette manœuvre diplomatique soulève des interrogations sur la nature des relations entre la Russie et la Corée du Nord.
Quels sont réellement les objectifs derrière ce rapprochement stratégique ? À la lumière de cet événement, un geste diplomatique inattendu est venu renforcer les liens entre les deux pays. Un étrange cadeau de Vladimir Poutine à Kim Jong-Un.
La Russie a promis d’envoyer à la Corée du Nord une sélection d’animaux exotiques. Dont des aigles, des pythons, des perroquets et des chauves-souris. Ce geste inhabituel vise à entretenir l’alliance entre les deux nations et à renforcer les liens bilatéraux. Une offensive nucléaire n’est d’ailleurs pas à exclure côté coréen… voire russe.
Un cadeau qui inquiète
Cette initiative rappelle la diplomatie chinoise du panda. Il s’agit d’une stratégie efficace utilisée par la Chine pour étendre son influence à l’échelle mondiale. En offrant des pandas en tant que symboles de coopération et d’amitié, la Chine a réussi à consolider ses relations avec de nombreux pays. De manière similaire, le don d’animaux de la part de la Russie à la Corée du Nord peut être interprété comme un signal de bonne volonté et un moyen de renforcer les liens interpersonnels entre les deux nations.
Cependant, au-delà de son caractère symbolique, ce cadeau soulève des questions sur les motivations réelles de la Russie dans sa politique étrangère. Le pays de l’Eurasie n’est d’ailleurs pas non plus étranger aux guerres actuelles. Certains analystes voient ce geste comme une tentative de Moscou de consolider son influence dans la région asiatique, en contournant les sanctions internationales et en renforçant ses liens avec un acteur clé de la scène géopolitique régionale.
De plus, ce don soulève des préoccupations concernant le bien-être des animaux eux-mêmes. Les conditions de vie dans le zoo de Pyongyang ne sont pas bien documentées, et l’ajout d’animaux exotiques pourrait poser des défis en termes de soins et de gestion.