Ce cannibale a fait frire le cœur de sa victime et vient d’être libéré
Depuis le début du conflit en Ukraine, la participation de criminels condamnés dans les forces armées russes suscite une vive controverse. Trois hommes en particulier ont attiré l’attention, dont un cannibale : Dmitry Malyshev, Alexander Maslennikov et les hommes qu’ils ont tués.
Un cannibale en liberté
Dmitry Malyshev, 36 ans, a été condamné pour le meurtre de trois hommes. Il a notamment avoué avoir arraché le cœur d’une victime pour le frire et le manger avec des accompagnements. Ces actes de cannibalismes sont aussi signes d’un esprit psychopathe avide de torture. Le cannibale de 38 ans a été reconnu coupable du meurtre et du démembrement de deux femmes. Il a ensuite donné les restes à ses chiens. Il a été libéré de prison par Vladimir Poutine pour rejoindre l’unité militaire russe en Ukraine.
Cette décision du président russe a provoqué un tollé international. Certains ont dénoncé la participation de criminels notoires dans un conflit déjà meurtrier. Malyshev et Maslennikov sont devenus les symboles d’une guerre qui dépasse les limites de la moralité humaine.
Pourtant, pour certains, ces hommes ne sont pas seulement des criminels. Ils seraient aussi des héros combattant pour ce qu’ils considèrent être des « valeurs traditionnelles ». Malyshev lui-même a exprimé son soutien à cette vision. Critiquant l’éducation sexuelle et les droits des LGBTQ+ comme des exemples de décadence morale occidentale.
Des criminels envoyés à la guerre
L’utilisation de criminels, comme le cannibale Malyshev, dans le conflit ukrainien n’est pas sans conséquences. Plusieurs rapports ont fait état de violences commises par des ex-détenus une fois rentrés en Russie, ce qui a incité le ministère russe de la Défense à revoir sa politique de libération conditionnelle pour les criminels participant à la guerre.
En attendant, Malyshev, Maslennikov et d’autres criminels de guerre poursuivent leur service dans l’unité Storm V en Ukraine. La question demeure : jusqu’où ira la Russie pour défendre ses intérêts dans la région, et à quel prix humain ?