Sandrine Rousseau : ses propos chocs sur les terroristes Afghans refont surface (vidéo)
Samedi 27 avril 2024, Matisse, jeune adolescent de 15 ans perdait la vie après avoir été sauvagement assassiné par R., un jeune Afghan du même âge. Lors de son audition, il a expliqué qu’il avait agi par vengeance après avoir été victime d’insultes racistes.
Et depuis ce terrible drame, une vidéo fait le tour des réseaux sociaux, il s’agit d’une ancienne interview de Sandrine Rousseau qui confiait qu’il valait mieux « avoir les potentiels terroristes afghans en France pour les surveiller » comme vous pouvez le voir dans la séquence en vidéo ci-dessous :
Émotion depuis la mort du jeune Matisse
L’émotion est vive à Châteauroux. Samedi 27 avril 2024, le jeune Matisse, âgé de 15 ans était tué à coup de couteau par R., un jeune Afghan du même âge. Rapidement interpellé, lors de son audition, l’agresseur a fait savoir qu’il avait agi par simple vengeance après avoir reçu de nombreuses insultes racistes.
Une violente bagarre aurait éclaté entre les deux garçons et R. est rentré chez lui en saignant. Enervé, il aurait alors fait le choix de prendre un couteau et d’aller se venger. Sa mère le suivait en voiture et a même asséné des gifles au jeune garçon alors qu’il était à terre.
Une agression qui a suscité une vive émotion et une marche blanche va être organisée samedi 4 mai 2024 pour rendre hommage au jeune garçon.
Des propos de Sandrine Rousseau refont surface
Et depuis quelques heures, après ce terrible drame, des propos de Sandrine Rousseau refont surface. Ces derniers avaient été prononcés sur BFM TV en août 2021. Sandrine Rousseau, la candidate à la primaire d’Europe Ecologie-les Verts participe en duplex à un débat sur l’arrivée de réfugiés afghans en France.
Et ses propos sur le sujet n’ont pas du tout convaincu : « Si vraiment il y a des personnes qui sont dangereuses, de potentiels terroristes, ce n’est pas parce qu’ils restent en Afghanistan qu’ils sont moins dangereux en vrai. Quelque part les avoir en France, cela nous permet aussi de les surveiller. »
Une déclaration qui n’avait pas du tout fait l’unanimité à tel point que Sandrine Rousseau avait dû présenter ses excuses. « C’était assurément une phrase maladroite » avait-elle reconnu à France Inter.