« Je réalise que j’ai été violée pendant les scènes » : ces femmes balancent sur les violences sexuelles dans le porno français (vidéo)
Une nouvelle fois, l’émission de France 2, Complément d’Enquête, aura encore permis de faire la lumière sur de sombres affaires. En effet, après celle sur les influenceurs et Magali Berdah, les journalistes de France Télévisions se sont attaqués… au monde du porno. Et ça n’est pas tout propre ! Deux femmes, notamment, témoignent sur ce qu’elles ont vécu et ce qu’elles considèrent, aujourd’hui, comme des viols. Nous vous laissons découvrir la séquence dans la vidéo qui suit…
Elles prennent la parole sur les dérives du porno
Même si la vérité d’une affaire n’est pas celle d’un milieu entier, il n’en demeure pas moins que certaines révélations peuvent faire froid dans le dos. Et pour cause… France 2 et Complément d’Enquête sont récemment partis enquêter sur le milieu du porno et, en l’occurrence, sur un producteur bien précis : Pascal OP. Propriétaire d’une plateforme de pornographie sur Internet, il est aujourd’hui visé par plus d’une trentaine de plaintes déposées par des femmes qu’il aurait engagées ces dernières années.
Pour autant, seules deux victimes ont accepté de témoigner à son encontre à voix haute. Aujourd’hui, elles clament haut et fort… avoir été violées. « À toutes les scènes, je passe mon temps à dire non, à les pousser. Je suis sur lui, il me maintient et, là, j’ai une double pénétration forcée. J’ai mal, je pleure, je saigne… Mais personne ne s’arrête », explique ainsi l’une des deux femmes interrogées par les journalistes de Complément d’Enquête sur cette expérience tragique qu’elles ont eu du porno.
Le producteur visé mis en examen
Forcément, ces déclarations jettent un froid considérable sur le regard déjà difficile que le grand public peut porter sur le monde du porno. Pour l’heure, Pascal OP, le producteur visé par les plaintes de cette trentaine de femmes, est aujourd’hui en prison dans l’attente de voir l’enquête progresser. Pour lui, tout semble déjà l’accabler… Et on ne peut qu’avouer que c’est mérité !