Marie Myriam, dernière gagnante de l’Eurovision, dévoile le montant de sa retraite (vidéo)
Invitée face à Jordan Deluxe, la chanteuse Marie Myriam s’est confiée au sujet de sa retraite. Malgré une carrière bien remplie, elle s’en sort avec une petite retraite. Le résultat d’un manque d’attention qu’elle explique sur le plateau de Chez Jordan.
Personnalités et petite retraite
La retraite des personnalités est un sujet qui fascine. En effet, beaucoup imaginent que grâce à leur carrière, ces dernières coulent des jours heureux, sans avoir à se soucier de l’argent. Mais ils ont tout faux. Aujourd’hui retraitées, certaines se confient sur le montant de leur retraite, parfois dérisoire. Des confidences qui suscitent l’incompréhension du grand public.
Comment expliquer cet écart de train de vie entre leur période active et leur retraite ?
Simplement parce que, comme certains le soulignent, certaines de leurs activités n’ont pas été déclarées. Résultat : impossible de les comptabiliser au moment de calculer leur pension. Chez d’autres, ce sont de mauvaises manipulations ou des oublis qui sont en cause.
Les meilleures années de Marie Myriam non prises en compte
C’est le cas de la chanteuse Marie Myriam qui était invitée il y a peu sur le plateau de Chez Jordan. Face à l’animateur, elle s’est confiée sans langue de bois sur le montant de sa pension. « Combien on touche de retraite quand on s’appelle Marie Myriam ? », la questionne-t-il durant leur entretien.
« Quand je suis allée à mon rendez-vous, j’y suis allée en tant que madame Elmosnino, et j’ai vu une dame charmante qui me dit : ‘vous savez, on a joint les vingt meilleures années […]’, et puis elle me dit ‘c’est dommage, 1977, 1978, 1979 vous n’avez rien fait…’. Alors, je lui dis, ‘Écoutez, madame, je m’appelle Marie Myriam, en 1977 j’ai gagné pour la France à l’Eurovision et donc 1977, 1978, 1979 j’ai travaillé énormément« , raconte la chanteuse.
Après vérification, elle arrive à la conclusion suivante : le problème vient de Sécurité sociale. « Je n’avais pas mon numéro de Sécurité sociale en entier. […] J’ai été versée de mes cachets mais […] mes trois meilleures années sont parties. […] Mais je ne peux pas me plaindre, j’ai 1 200 euros« . Pour arrondir les fins de mois, elle peut compter sur les ventes d’albums et ses quelques économies. Une situation dont elle se serait passée volontiers.