Elle crée des décos de Noël et du chocolat à base de placenta
Jordan Harrison, 29 ans, a décidé de créer des décorations de Noël qui rappellent la Nativité et l’amour qu’elle porte à ses enfants. Depuis quelques temps, Jordan s’est spécialisée dans la fabrication d’objets à base de placenta. Pour Noël, elle a décidé qu’elle allait décorer sa maison avec des objets en placenta séché.
Des objets de déco à base de placenta
Après la naissance d’Ezra, son deuxième fils de 3 ans, Jordan Harrison a gardé son placenta et l’a mis au réfrigérateur. Elle a pu le réduire en poudre, une poudre qu’elle utilise pour faire des bricolages. Elle a par exemple déjà créé des bijoux en mélangeant la poudre de placenta, de la colle et des paillettes.
Elle en mange quand elle a des crampes
Pour Noël, elle a décidé de mettre sa créativité à l’épreuve en créant des boules, des sapins ou des étoiles pour pendre sur son sapin. Mais ce n’est pas tout… Elle a poussé sa passion encore plus loin en mangeant sa poudre de placenta. Elle en a même fait une passion lucrative, puisqu’elle crée du chocolat à base de placenta pour d’autres mamans qui lui fournissent la poudre. Elle mélange alors la poudre avec du cacao, de l’huile de coco et du sucre. « Il a un goût un peu salé, mais sinon on ne sent pas vraiment la différence. J’ai fait deux grosses barres que je n’ai toujours pas finies en trois ans. J’en mange quand j’ai des règles douloureuses puisqu’elles sont pleines de fer. Comme le placenta est réduit en poudre, on peut le mettre dans un peu tout, comme des soupes ou des smoothies. »
Elle fabrique des capsules de poudre pour d’autres mères
Lors de la naissance de son premier fils, elle n’aurait jamais imaginé manger son placenta. Mais peu avant la venue d’Ezra, elle a lu pas mal de choses concernant les bienfaits du placenta et a eu l’idée de le garder. Elle a même suivi un cours pour lui apprendre comment s’y prendre pour le conserver. Elle l’a d’abord fait tremper pour le nettoyer. Puis elle l’a tranché et ensuite, elle l’a mis dans un déshydrateur. Selon elle, ce régime lui a aussi permis de ne pas faire de blues postpartum comme ça lui était arrivé après sa première grossesse. Depuis, elle reçoit les placentas d’autres mères qui veulent une œuvre d’art, un objet ou du chocolat à base de leur placenta.