« Je ne travaille avec aucun juif » : Poupette Kenza au cœur d’un nouveau scandale (vidéo)
Après avoir été accusée de détournements de fonds et avoir été incendiée par Booba, Poupette Kenza fait de nouveau parler d’elle. L’influenceuse a tenu des propos très polémiques sur les réseaux sociaux, certains l’accusent d’antisémitisme.
Poupette Kenza accusée d’antisémitisme ?
Si vous ne la connaissez pas, laissez-nous vous présenter Poupette Kenza. De son vrai nom Kenza Benchrif, Poupette Kenza est une influenceuse très suivie sur les réseaux sociaux et notamment sur Instagram.
La marseillaise de 33 ans a désormais une très forte audience. Elle s’est fait connaître en partageant des détails de sa vie, mais aussi sa vie de famille, avec son époux Allan et ses enfants.
Néanmoins, depuis un petit moment, l’influenceuse française fait beaucoup parler d’elle sur la toile, mais aussi devant la justice. Pour cause, non seulement elle a récemment été accusée de pédopornograph*e, mais elle a aussi été accusée de « pratiques commerciales trompeuses« .
Et, ce n’est pas tout. Ce jeudi 16 mai 2024, elle a tenu des propos qui ont été jugés comme très gênants sur les réseaux sociaux. En fait, Poupette Kenza s’est exprimé sur le sujet épineux du conflit israélo-palestinien.
En story, voici ce qu’elle a déclaré : « Je suis une propalestinienne, je ne travaille pour aucune personne sioniste ou juive (…) Je n’ai aucun partenaire, aucun agent qui est juif« .
« Je n’ai rien contre les juifs (..) j’en ai juste contre les sionistes et ceux qui financent le génocide, ceux qui financent ce massacre », a-t-elle clarifié.
Aurore Bergé réagit et la DILCRAH saisit la justice
Des propos qui ont été jugés comme antisémites par de nombreuses personnes et notamment par Aurore Bergé, ministre déléguée chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes.
« Boycotter des femmes et des hommes en raison de leur identité ou religion, c’est évidemment illégal. Une influenceuse s’est à nouveau illustrée récemment. Face à l’antisémitisme, au racisme, je ne laisserai rien passer », a déclaré la ministre sur X.
De son côté, la Dilcrah, instance gouvernementale de lutte contre les discriminations, a annoncé sa volonté de saisir la justice au sujet des propos de Poupette Kenza.
« À la demande de la ministre Aurire Bergé, la DILCRAH signale au Procureur de la République les propos antisémites tenus par cette « influenceuse » sur ses réseaux sociaux », lit-on sur X.