Icône menu hamburger Icône loupe de recherche
  1. TDN >
  2. Vidéos

La députée Aurore Bergé émue aux larmes en parlant des violences conjugales à l’Assemblée

Publié par Jessy le 09 Mar 2023 à 10:23
Partagez ce contenu sur Facebook
Partagez ce contenu sur Whatsapp
Partagez ce contenu sur Twitter
Partagez ce contenu par mail

Difficile de prendre la parole à l’Assemblée nationale, surtout quand il s’agit de sujets sérieux. Alors qu’Eric Dupond-Moretti a choqué les députés en faisant deux bras d’honneur en pleine séance à l’Assemblée nationale, Aurore Bergé a dû faire face aux critiques de l’hémicycle face à une proposition de loi sur les violences conjugales. La députée était émue aux larmes, comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessous.

À lire aussi : Hilona Gos accuse Julien Bert de violences : elle dévoile des audios compromettants

Aurore Bergé émue aux larmes sur le sujet des violences conjugales

Le 8 mars, c’est la journée internationale du droit des femmes. La veille, la députée Renaissance Aurore Bergé a fait une proposition de loi à l’Assemblée nationale. Elle souhaite interdire aux personnes condamnées pour des faits de violences de se présenter à des élections.

Quelques semaines après le retour direct d’Adrien Quatennens à l’Assemblée nationale, il n’en fallait pas plus aux oppositions pour huer la députée. Aurore Bergé tente de reprendre la parole dans une ambiance digne d’une mauvaise pièce de théâtre. Les députés crient, huent, critiquent… Si la proposition de loi a été signée par les élus du groupe Renaissance, les oppositions ont montré leur mécontentement.

Une situation qui a beaucoup touché Aurore Bergé. « Je sais exactement de quoi je parle quand je parle des violences conjugales » s’est exclamée la députée, dans une cohue générale.

À lire aussi : « Au pire, une gifle c’est quoi ? » : les propos chocs d’un candidat de télé-réalité sur les violences conjugales

Aurore Bergé

Capture d’écran de la séance du 7 mars 2023

« C’est une loi d’émotion » : l’opposition fustige la députée

Plus précisément, le projet de loi vise les personnes condamnées pour des faits de violences sur mineur de moins de quinze ans ou sur conjoint, comme le rapporte BFMTV.

Et en même temps, quel député condamné pour ces faits prendrait la défense des victimes, à part dans une logique hypocrite ? Face à la proposition du groupe Renaissance, l’opposition a vivement réagi. « C’est une loi d’émotion, et pire, de règlement de comptes. Les violences faites aux femmes sont un sujet trop important pour que l’on en fasse un objet bassement politicien » a argumenté la députée Emmanuelle Ménard.

Alors que le fils d’Eric Dupond-Moretti a été placé en garde à vue pour violences conjugales en janvier dernier, le sujet est souvent oublié au milieu d’une justice trop timide et des députés qui préfèrent se renvoyer la faute… Au lieu de débattre.

À lire aussi : Emmanuel Macron : la bonne nouvelle qui vient de tomber

INSCRIPTION NEWSLETTER TDN

N'oubliez pas de cliquer sur l'email de validation pour confirmer votre adresse email. Si vous ne l'avez pas recu vérifiez dans vos spams.