Un couple qui a participé aux Z’amours explique sa vision du libertinage (Vidéo)
Le 17 mars dernier, un couple de candidats a participé à l’émission Les Z’amours, animé par Bruno Guillon. Le couple, composé d’Eve et de Yohann, est adepte du libertinage. Toutefois, les deux amants ont été assimilés à la pratique de l’échangisme. Ils ont donné une interview à nos confrères de Voici.
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Deux candidats des Z’amours expliquent leur vision du libertinage
Eve et Yohann ont donné une interview auprès de nos confrères de Voici. Après leur passage télévisé dans l’émission Les Z’amours, le couple, adepte du libertinage, a été assimilé à la pratique de l’échangiste. Ils tiennent à mettre les choses au clair.
La compagne de Yohann admet que dans la plupart des esprits des Français, « être libertin, c’est forcément échanger son partenaire ». Pourtant, ce n’est pas du tout le cas. Pour son cas, Yohann explique : « Les établissements libertins, c’est plus une liberté sexuelle. Par exemple, si vous voulez caresser votre femme plus librement qu’en boîte de nuit ordinaire, vous pouvez le faire. C’est juste plus libéré« .
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Ils souhaitent faire de la prévention auprès des jeunes
Leur participation dans l’émission a conquis leurs amis et leurs familles. Leurs amis ont toujours accepté qu’ils étaient « délurés sexuellement », s’amuse à dire Yohann. Pourtant, du côté de leurs familles, les rapports ont été plus compliqués à accepter. Toutefois, grâce à leur passage dans l’émission, leurs familles ont pu observer que le couple était « heureux, épanouis, sains ».
La confusion entre libertinage et échangisme a beaucoup dérangé. Yohann a un avis à ce sujet : « Aujourd’hui, les gens pensent que casser la routine sexuelle d’un couple, c’est changer de partenaire. On est en 2021, il y a énormément de choses à faire en couple avant de se dire ‘Chéri, je m’ennuie avec toi’. »
Ainsi, avec leur style de vie, les deux amants en profitent pour faire de la prévention. Eve met un point d’honneur à propos des jeunes : « On est en train de sonder des jeunes filles entre 15 et 18 ans, on s’est rendu compte que la sexualité à ce jeune âge, c’est catastrophique. On aimerait, pourquoi pas, intervenir dans des collèges pour leur expliquer. Ils ont des cours d’éducation sexuelle, mais c’est l’anatomie, rien d’autre. On aimerait intervenir auprès de ce public-là« .
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