Laurent Ruquier condamné à verser une grosse amende
Pour l’animateur Laurent Ruquier, c’est fini dans On est en direct sur France 2. En effet, le 4 juin dernier, ce dernier a été définitivement remplacé par Léa Salamé. Une nouvelle qui n’arrive pas seule puisque Laurent Ruquier a également été condamné à verser une amende à son ex productrice. Celle qui avait à sa charge l’émission On n’est pas couché, réclame une somme colossale.
1 million d’euros d’amende pour Laurent Ruquier
Celui qui s’était frité avec Arielle Dombasle quitte l’émission On est en direct sur France 2. Remplacé par son binôme, Léa Salamé, il a quitté le programme en ce début juin 2022. Mais, ce n’est pas réellement ça qui a attiré notre attention ce 21 juin 2022. En effet, Laurent Ruquier est également invité à payer une lourde amende à son ex productrice pour son émission On n’est pas couché. Ce programme était diffusé pendant 14 ans sur France 2 (2006-2020). C’est d’ailleurs cette émission qui a fait connaître l’animateur.
Ce mardi, il a été condamné à payer près d’un million d’euros de dommages et intérêts à son ancienne productrice Catherine Barma, en charge de On n’est pas couché. Une décision rendue publique par le tribunal de commerce de Paris. La raison ? Selon la productrice, il aurait fait subir un préjudice au programme à cause d’une « insuffisance du préavis de rupture » . Il serait donc parti trop vite de son poste.
Pour cause, l’animateur a quitté On n’est pas couché du jour au lendemain avant de lancer ses nouvelles émissions dérivées. La somme exacte à payer se scinde en deux : 780 340 euros pour le préavis trop court et 219 375 euros « en indemnisation des licenciements économiques causés par la brutalité de la rupture » .
Le présentateur va faire appel contre cette décision
Même s’il se la coule douce avec son chéri Hugo Manos, en Grèce, Laurent Ruquier compte bien régler cette affaire au plus vite. Laurent Ruquier a d’ailleurs indiqué son refus de payer cette amende. Il va faire appel et affirme avoir eu recours à une rupture conventionnelle légale à cette époque.
Du côté de l’ex productrice, elle demande également à Laurent Ruquier le partage des frais engendrés par l’arrêt du talk-show. Affaire à suivre.