Un ancien chroniqueur de TPMP ruiné : « Je touchais 400 euros de chômage »
Après son départ de Touche Pas à Mon Poste (TPMP), ce chroniqueur a traversé une période très compliquée. Dans une interview pour La Tribune du Dimanche, il a raconté ses difficultés financières et ses moments de doute.
400 euros par mois pour vivre
Ce chroniqueur emblématique s’est fait connaître grâce à TPMP, l’émission animée par Cyril Hanouna. Il y était très apprécié pour son humour et sa bonne humeur. Mais après plusieurs années, il a décidé de quitter le programme, car il n’était plus en accord avec l’ambiance et la direction de l’émission.
Il s’agit de Bertrand Chameroy ! Après son départ, l’ex-chroniqueur TPMP explique que plus personne ne voulait travailler avec lui. Bertrand a raconté : « Je suis devenu un peu comme le ‘chat noir’, celui sur qui personne ne voulait parier.«
Pendant cette période, il vivait avec seulement 400 euros de chômage par mois. Il avait très peu de projets. Il écrivait des chroniques pour un magazine et n’avait reçu qu’une proposition de voix-off pour une émission de télé-réalité.
Il a failli changer complètement de métier
Les choses étaient si difficiles que Bertrand Chameroy a pensé changer complètement de vie. Il a même envisagé de devenir fleuriste. « Je me suis dit que c’était soit changer de métier, soit sombrer« , a-t-il confié.
Pendant plusieurs mois, il a hésité, sans savoir s’il devait rester dans les médias ou partir vers une tout autre voie.
Un beau retour à la télévision et à la radio
Heureusement, la situation a fini par s’améliorer. En 2020, Bertrand Chameroy a fait son retour à la radio sur Europe 1. Puis il est arrivé à la télévision sur France 2, dans l’émission C à vous aux côtés d’Anne-Élisabeth Lemoine.
Depuis, il s’est imposé comme l’un des chroniqueurs préférés du public grâce à son humour. En 2025, il a même commencé à travailler sur France Inter, où il remplace Matthieu Noël pendant son congé paternité. Bertrand Chameroy montre que même après de grandes difficultés, avec de la patience et du travail, il est possible de réussir à nouveau.