Elle se fait tatouer avec les cendres de son chien mort et incinéré
Bethany Cruickshank, 18 ans, a été dévastée par la mort de son husky, il y a un an. L’animal de compagnie avec lequel elle avait grandi est mort l’année dernière, alors qu’elle lui avait promis qu’ils « seraient ensemble pour toujours ».
Pour tenir sa promesse, elle a décidé de se faire tatouer l’empreinte de la patte de son chien, en utilisant de l’encre mélangée aux cendres du husky. Regardez la vidéo pour découvrir les photos de son tatouage.
Son chien l’accompagnait depuis son enfance
Bethany n’avait que 6 ans lorsque ses parents ont décidé d’adopter Mika, un mignon petit husky. Durant toute son enfance, puis durant toute son adolescence, Bethany s’est confiée à Mika, elle a joué avec Mika, elle s’est consolée auprès de Mika, qui jouait un peu le rôle de sa meilleure amie. Elle s’est donc retrouvée dévastée lorsqu’elle l’a perdue brutalement l’année dernière. « Elle était sauvage au début, mais avec beaucoup d’amour et de dressage, elle était devenue le chien parfait. Je l’aimais tellement », se souvient Bethany.
Pour faire son deuil, elle se fait tatouer avec les cendres du husky
« Comme elle a été incinérée, j’ai recherché s’il y avait moyen de fabriquer des bijoux avec ses cendres, mais c’était trop cher. C’est alors que j’ai lu qu’on pouvait utiliser les cendres dans de l’encre pour tatouages. Et j’ai tout de suite su que je voulais faire ça, mais j’ai dû attendre d’avoir 18 ans ». Par chance, le vétérinaire avait eu l’idée de faire une empreinte de la patte de Mika lorsqu’elle est morte. Bethany s’est donc rendue chez le tatoueur qui lui a fait la réplique de l’empreinte, en utilisant l’encre spéciale. « Ma famille et mes amis ont été un peu choqués mais ils ont soutenu mon idée. Maintenant j’ai même des amis qui disent qu’ils vont faire la même chose. » Bien entendu, en dévoilant les photos de son tatouage sur les réseaux sociaux, elle a aussi reçu beaucoup de critiques. Les tatouages commémoratifs sont réalisés à base d’une infime dose de cendre qui est mélangée à la solution d’encre, avant d’être injectée dans la peau. « Faire ça, à tellement plus de sens pour moi que de laisser une urne sur le rebord de la cheminée. Au final, ça ne regarde personne. C’est mon corps et mon choix ».
Crédits : Caters News Agency