Vaccin AstraZeneca : Un enseignant meurt après l’injection, un décès suspect de plus…
Dimanche 14 mars, dans la région de Piémont, au nord-ouest de l‘Italie, les autorités ont décidé de suspendre pendant quelques heures le vaccin AstraZeneca, avant d’écarter un lot de doses suspect.
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Un décès suspect d’un enseignant
Dimanche 14 mars, à Biella, au nord de Turin, un enseignant de clarinette dans un conservatoire, âgé de 57 ans, est décédé après avoir été vacciné avec une dose d’AstraZeneca. Suite à ce décès, la région de Piémont a décidé de suspendre toutes les vaccinations avec l’AstraZeneca.
« Une mesure d’extrême précaution, en attendant de vérifier s’il existe un lien de causalité entre la vaccination et le décès » , explique dans un communiqué, Luigi Genesio Icardi, le conseiller santé de la région. Finalement, quelques heures plus tard, il a été décidé de reprendre la vaccination, mais en ayant « repérer et isoler le lot dont provenait la dose injectée à l’enseignant décédé » .
Pas la première suspension de l’AstraZeneca en Italie
La région de Piémont a donc décidé d’écarter le lot ABV5811, afin de vérifier si celui-ci à une responsabilité dans le décès de l’enseignant de 57 ans. Mais ce n’est pas la première fois qu’un lot d’AstraZeneca fait l’objet d’une suspension. En effet, jeudi 11 mars, une décision similaire a été prise, à cause de la crainte d’une formation de caillots de sang.
Mardi 9 mars, un militaire de 43 ans est mort après avoir reçu une première injection d’AstraZeneca, en Sicile. Ce décès est considéré comme suspect lui aussi, une autopsie a été réalisée samedi 13 mars. Malgré ces deux cas, le président de l’Agence italienne des médicaments, Giorgio Palu, déclare qu’il n’y a « aucun risque » avec l’AstraZeneca.
Source : Le Figaro
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