Relations amoureuses : Le « FODA », ce nouveau mal qui touche les célibataires post Covid-19
La crise sanitaire est difficile à vivre pour tout le monde, et tout particulièrement pour les célibataires. Parmi eux, certaines personnes sont probablement touchées par un nouveau phénomène appelé « FODA » : la crainte de sortir et de faire de nouvelles rencontres amoureuses. Explication !
Le « FODA » : des célibataires angoissés à l’idée de faire de nouvelles rencontres
Depuis plus d’un an maintenant, la crise du Covid-19 et les confinements successifs ont mis un point d’arrêt à nos relations sociales et amoureuses. Une situation anxiogène et difficile, à tel point que de nombreux célibataires seraient touchés par un phénomène nouveau appelé « FODA » (Fear of Dating Again ou la peur de faire des rencontres amoureuses).
« Les rencontres ont toujours été une expérience anxiogène, mais après une année de restrictions et de confinements pandémiques, il est normal de se sentir un peu plus anxieux qu’à l’accoutumée« , explique Logan Ury, fondatrice d’une application de dating. Cette angoisse est donc tout à fait compréhensible !
>>> A lire aussi : Cette tendance des personnes inscrites sur les sites de rencontres en dit long !
Dédramatiser la situation
Une chose est sûre : de nombreux célibataires ont vécu une année difficile sans la moindre rencontre amoureuse. Alors… pas d’inquiétude ! Il est tout à fait normal de se sentir nerveux, mais la personne en face de vous aura probablement la même appréhension. Détendez-vous et profitez un maximum du jour où les bars ouvriront à nouveau pour faire de nouvelles rencontres.
Connell Barrett, coach de dating, explique qu’il est nécessaire de se rappeler que post-pandémie, chaque rendez-vous galant est une victoire en soi : « Dès que le rendez-vous commence, vous avez gagné, peu importe l’issue de la rencontre : bien sûr, c’est le rêve de trouver l’amour, mais pouvoir à nouveau faire des rencontres est une forme de victoire« . Allez les célibataires, courage.
>>> A lire aussi : Vierge à 33 ans, elle est terrifiée à l’idée d’avoir des relations sexuelles