Présidentielles 2022 : un gros changement pourrait être mis en place pour le vote !
Alors que les présidentielles américaines viennent à peine de s’achever dans la confusion la plus complète, la France envisage un tout nouveau système pour les présidentielles en 2022. En effet, le gouvernement vient récemment de déposer un amendement visant à permettre le vote par anticipation. Un amendement qui fait d’ores et déjà débat et qui soulève un grand nombre de questions.
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Présidentielles 2022 : le vote par anticipation
Tout le monde a en tête les présidentielles américaines qui se sont clôturées dans un débat houleux. Entre rumeurs de tricherie et trucage des votes, l’élection de Joe Biden a largement été entachée par ce que certains décrivent comme « le vol du siècle. » Or, si la France semblait jusqu’à présent hors d’atteinte, le gouvernement vient à peine de déposer un amendement qui pose question.
En effet, le Sénat vient de recevoir une demande qui vise à permettre le vote par anticipation pour les présidentielles en 2022 dans certaines communes. En gros, les Français pourront voter à partir d’une machine, installée dans un bureau de vote et bien avant le jour J. Alors évidemment, c’est un texte qui fait débat et qui n’est pas sans susciter certaines craintes au regard de ce qui vient de se passer outre-Atlantique.
Un amendement qui pose question
Une machine disposée dans certains bureaux de vote permettrait aux électeurs français de pouvoir voter par anticipation aux présidentielles en 2022. Évidemment, on voit immédiatement qu’il s’agit d’un amendement qui pose un certain nombre de problèmes en matière de logistique. Le vote comptabilisé peut-il être ferme et définitif ? Comment savoir si un petit génie de l’informatique ne pourrait pas s’infiltrer pour y changer les résultats ? Pourquoi déroger à la tradition française avec ce type de machine ?
Dans tous les opposants à cet amendement, les voix s’élèvent contre une « manœuvre politicienne » qui montre « la légèreté du gouvernement sur les principes démocratiques. » En attendant, c’est au Sénat de voter pour savoir si, oui ou non, cette fameuse loi va passer.
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