Chiffre alarmant : une grossesse sur deux ne serait pas voulue dans le monde
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Devenir parents est une étape importante dans notre vie. Et quand il s’agit de devenir maman, l’étape est beaucoup plus importante. Mais dans le monde, les grossesses involontaires sont encore très nombreuses. Une nouvelle étude fait le point sur le nombre de grossesses non désirées, à l’heure où la contraception est largement répandue.
Grossesse involontaire : 121 millions de femmes concernées, selon une étude !
La grossesse est une période stressante et particulière pour les femmes. Même si le désir d’être maman est présent, les femmes ne sont pas toujours prêtes, et veulent attendre pour avoir un enfant. Mais quand elles découvrent qu’elles attendent un enfant, beaucoup d’émotions se bousculent.
Selon un nouveau rapport du Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA), 121 millions de femmes par an vivent une grossesse involontaire. Un chiffre alarmant quand la contraception est largement répandue dans certains pays du monde. « Quand presque la moitié des grossesses ne sont pas choisies, cela nous donne une image alarmante de l’état de négligence de la liberté reproductive des femmes » indique notamment Natalia Kanem, la directrice exécutive de l’UNFPA.
La contraception : efficacité ? Simple d’accès ?
Dans tout ça, plusieurs questions se posent, notamment sur la contraception. En effet, dans plusieurs pays du monde, les femmes ont accès à la contraception. Oui mais, les dangers liés à ces petites pilules ne cessent d’inquiéter les femmes vis-à-vis de leur santé.
Dans un article, Le Monde a notamment indiqué que le Covid 19 avait aggravé le taux de grossesses involontaires dans certains pays. Sont notamment concernés la Zambie ou encore le Rwanda. Un approvisionnement fragile, qui aurait conduit à une hausse de 1,4 million de grossesses non désirées. Les conflits internationaux jouent également un rôle. Et lorsque la grossesse n’est pas désirée, plusieurs questions se posent : doit-on procéder à un IVG ? Doit-on garder le bébé ? Quelles sont les solutions pour réduire le taux de grossesses involontaires ?
