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Vous recevez beaucoup de sextos de votre partenaire ? Méfiance, cela peut être mauvais signe

Publié par Romane TARDY le 29 Mar 2022 à 8:35
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« J’ai envie de toi » , « Je me touche en pensant à toi » , « Je veux te faire jouir » , voici des sextos très souvent envoyés. Chauffer son partenaire à distance peut être un moyen d’entretenir la flamme et de créer de l’intimité sans contact physique direct. Pourtant, cette pratique peut cacher des côtés plus sombres.

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Les sextos : Un phénomène qui explose

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Les sextos, ces SMS à caractère sexuel, sont souvent utilisés pour exciter son partenaire à distance et créer ainsi un moment d’intimité même quand on est éloigné. Ce phénomène est très répandu : selon une étude des chercheurs de l’université de l’Indiana, 7 personnes sur 10 en ont déjà envoyés. C’est très courant chez les jeunes. Ainsi, 80% des étudiants interrogés avaient déjà reçu un SMS coquin sous forme de texte. Evidemment, on peut aussi prendre en compte les photos suggestives : cela représente 64%. Cette différence peut s’expliquer par une certaine pudeur ou la peur de voir les photos un jour diffusées.

Avec le développement des applications de rencontre, le sexting est plus courant que jamais. Toutefois, cela peut avoir des mauvais côtés. Selon une étude publiée par MDPI auprès de 6000 adolescents et jeunes adultes de 11 pays différents et relayée par Neon, les amateurs de sextos seraient plus à même d’être des personnes vicieuses. Il y aurait un lien entre le sexting et les traits de personnalités suivants : le narcissisme, la psychopathie et le machiavélisme. Pas très rassurant…

sextos

Les adeptes de sexting narcissiques ?

Les participants ont dû choisir entre trois catégories de sextos auxquels ils aiment s’adonner. Quand les participants placent le sexting dans la catégorie « expérimental » , c’est qu’ils en sont friands en tant qu’échange consenti avec un partenaire. La deuxième case, « risqué » , regroupent ceux qui envoient des sextos non pas tellement par choix mais sous l’influence de drogue ou d’alcool à des inconnus. Enfin, la troisième catégorie et pas des moindres, celle « aggravé » , correspond au partage de sextos sans consentement, que ce soit d’autres personnes ou de forcer une personne à sexter.

Les résultats ont alors montré « un rôle pertinent du machiavélisme dans tous les types de comportements de sexting étudiés » . Ceux qui envoient le plus de sextos seraient aussi ceux qui sont les plus narcissiques et machiavéliques notamment. Moins nombreux ceux qui préfèrent les échanges « risqués » ou « aggravés » sont associés à la phychopatie.

Evidemment, il ne faut pas faire une généralité sur les personnes adeptes de sextos mais on le sait il faut toujours rester méfiants avec cette pratique très intime.

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