Findom : quelle est cette pratique sexuelle qui mélange argent et domination ?
La société actuelle met un point d’honneur à l’épanouissement sexuel et à la découverte. Alors que le Kamasutra s’est popularisé rapidement, beaucoup n’ont pas besoin de ce livre pour découvrir des pratiques sexuelles parfois étonnantes. Aujourd’hui, découvrez le findom, une pratique sexuelle alliant l’argent et la domination.
>> À lire aussi : Stashing : Cette tendance malsaine qui brise de nombreux couples !
Le findom : une pratique alliant l’argent et la domination
La prostitution est mal vue par la société et le domaine du droit. Mais pour contourner ces lois, certains inventent des pratiques à la fois excitantes et légales. Bien que le mot ait une consonance très anglaise, le findom est l’abréviation des mots « financial » et « domination ». Attention, l’argent n’a pas spécialement de connotation sexuelle, mais est porté vers la domination.
Les hommes, le plus souvent, sont prêts à donner tous leur argent à leur dominatrice / dominateur, qui se font appeler « déesse » . Le principe est simple : votre déesse vous demande de l’argent, et vous vous exécutez sans rien attendre en retour. Bien que cela semble bizarre, l’excitation de l’homme réside dans sa soumission à la « déesse » qui le contrôle. Mais le sexe n’est pas au premier plan.
Une soumission qui réside dans l’argent que vous possédez !
Finalement, on rapproche le findom d’une pratique sexuelle seulement car on parle de soumission et d’excitation. Depuis quelques mois, des vidéos sont publiées où une femme exige de l’argent de la part de son « soumis » , qui s’exécute sans rien demander en retour. Selon le degré de soumission demandé, l’homme peut même se faire insulter et cracher dessus. Parfois, la dominatrice / le dominant peuvent très bien avoir un rapport sexuel avec leur « soumis » ou « cochon payant » , mais cela reste rare. Sur Twitter, de nombreux internautes n’hésitent pas à donner leurs coordonnées PayPal afin de recevoir de l’argent d’hommes ne sachant que faire de leur argent. Les riches d’aujourd’hui seront-ils les soumis de demain ?