Qu’est ce que le déni d’orgasme, cette pratique méconnue mais diablement efficace ?
Dans le domaine de la sexu*lité, de nombreuses techniques sont souvent évoquées pour tenter de maintenir l’attirance entre les partenaires ou de maximiser le plaisir pendant l’acte. Cependant, il est fort probable que vous n’ayez jamais entendu parler… du déni d’orgasme. Et pourtant ! Il s’agit d’une bonne vieille recette de grand-mère (pas sûr que l’expression soit la meilleure) pour multiplier par nous ne savons combien… le plaisir orgasmique. Pour faire connaissance, rendez-vous dans les lignes qui suivent !
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Le déni d’orgasme, jouissance garantie
Faire l’amour est, pour les couples, un acte habituel qui, parfois, peut devenir plutôt lambda. Et c’est peut-être l’une des raisons qui permettent d’expliquer pourquoi la technique du déni d’orgasme est utilisée par les adeptes du BDSM (Bondage et Discipline, Domination et Soumission, Sadisme et Masochisme). Vous devez donc probablement vous poser la question : en quoi cela peut-il donc bien consister ?
C’est très simple. Considérée comme l’une des meilleures techniques pour décupler les sensations de jouissance, le déni d’orgasme consiste en réalité à pousser son partenaire dans ses retranchements et à l’amener à la limite du bonheur suprême à de nombreuses reprises… sans le faire jouir. À chaque fois que la limite sera atteinte, les hormones seront relâchées et viendront s’accumuler pour, à la fin, réserver une surprise encore plus intense.
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Un plaisir décuplé
À force de faire venir le plaisir à la limite de son explosion, le déni d’orgasme permet finalement à la jouissance finale d’être littéralement… démesurée. Autrement dit, le partenaire qui joui est pris de sensations on ne peut plus décuplées.
Point positif : retarder l’échéance chez un homme lui permet aussi de travailler son endurance. Le tout pour des rapports toujours plus longs… et agréables. Après tout, que peut-on désormais demander de mieux qu’un bonheur assuré sous la couette ? Tous en piste, maintenant !
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