Ceinture de chasteté numérique : des personnes se retrouvent avec le sexe coincé…
Suivez nous sur Google News
Une équipe de cybersécurité a mis en lumière les actions de certains pirates informatiques. Ils peuvent maintenir le verrouillage d’une ceinture de chasteté destinée à contrôler la sexualité des hommes. Cet appareil piège finalement le sexe des utilisateurs.
>>> À lire aussi : Le gouvernement français prend une décision radicale concernant la polygamie !
Une ceinture de chasteté connectée pour contrôler la sexualité des hommes
La technologie n’apporte pas uniquement des bonnes nouvelles. BBC vient de rapport une faille de sécurité dans une ceinture de chasteté pour hommes. Des pirates informatiques peuvent verrouiller à distance tous les appareils en même temps.
Ainsi, pour se libérer, les utilisateurs de la ceinture n’ont pas d’autre solution que de couper le câble de connexion. Sinon, leur pénis restait bloqué dans l’appareil.
Baptisé Cellmate, ce gadget sexuel est une cage dans laquelle l’homme glisse son sexe avant de verrouiller le mécanisme avec un anneau en acier. Cet appareil, souvent vendu comme un jeu de soumission sexuelle, ne possède pas de clé physique ou de commande manuelle. Son verrouillage se fait uniquement par Bluetooth grâce à une application sur smartphone.
>>> À lire aussi : Impliquée dans une secte sexuelle, la déchéance d’une héritière !
Cet appareil peut être hacké à distance
« Nous avons découvert qu’à distance, des hackers, peuvent empêcher l’ouverture du verrou Bluetooth, laissant ainsi (le sexe) de l’utilisateur coincé dans l’appareil. Il n’y a pas de déverrouillage physique possible« , a souligne Pen Test Partners, l’entreprise en cybersécurité.
Seuls « une disqueuse ou tout autre outil approprié peuvent libérer l’utilisation », a-t-elle rajouté. De son côté, la société Qiui qui vend l’appareil n’a pas souhaité répondre aux questions de l’AFP.
Ces jeux sexuels sont particulièrement en vogue en ce moment. « Il ne faudrait pas plus de deux jours à un pirate informatique pour exfiltrer la totalité de la base de données des utilisateurs et l’utiliser à des fins de chantage ou de phishing (hameçonnage) » a indiqué Alex Lomas de PTP dans un rapport sur l’appareil.
