Des scientifiques ont découvert une méthode révolutionnaire pour arrêter le processus de vieillissement
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Pour paraître plus jeunes, certaines femmes n’hésitent pas à dépenser une fortune en produits cosmétiques. D’autres ont recours à la chirurgie esthétique et au botox. Mais certains scientifiques déclarent que le secret se trouve derrière notre ADN. Grâce à des expériences sur des vers, ils parviennent à trouver l’élixir de jouvence !
Les scientifiques piratent le fonctionnement de l’ADN !
En général, les femmes vivent plus longtemps que les hommes. En France, par exemple, l’espérance de vie est de 85,3 ans pour les femmes et de 79,4 ans pour les hommes. Toutefois, ces chiffres pourraient devenir obsolètes dans les prochaines périodes ! Cela, grâce à une découverte venant de scientifiques à Budapest !
La déclaration de ces scientifiques est assez audacieuse, puisqu’ils disent qu’ils possèdent le secret de la jeunesse éternelle. Depuis la nuit des temps, tout le monde essaie de trouver la solution à ce mystère. Alors, allons-nous assister à un changement majeur dans l’histoire de l’humanité ?
Le Dr Ádám Sturm et le Dr Tibor Vellai, des chercheurs de l’Université Eötvös Loránd, donnent plus d’explications. Selon leurs dires, le processus de vieillissement provient de certains éléments de notre code génétique. De là, ils ont tenté plusieurs expériences pour essayer de le modifier.
Pour faire simple, l’ADN contient des parties appelées éléments transposables (ET). Ces ET sont des « gènes sauteurs » capables de mettre à mal les parties du code génétique responsables du vieillissement. Ce qui aurait pour conséquence une hausse notable de l’espérance de vie !
L’expérience est un véritable succès !
Outre les recherches sur le code génétique, les scientifiques découvrent un phénomène encore plus étonnant. Selon leurs dires, les cellules souches cancéreuses auraient une propriété unique : elles ne vieillissent pas ! Ce qui constitue une avancée majeure dans leurs travaux pour l’humanité.
Afin de prouver leur hypothèse, les scientifiques réalisent plusieurs expériences sur des vers. Leur idée est très simple, ils réduisent l’activité des ET dans les cellules de ces petits animaux. Leur expérience a été couronnée de succès dès le premier essai ! La durée de vie du ver a augmenté de 30 %.
Ils ont ensuite essayé la même méthode, mais avec plusieurs ET en même temps. Comme pour le précédent, les petits animaux ont pu vivre un peu plus longtemps ! Les chercheurs publient alors les fruits de leurs travaux dans « Nature Communications ». La communauté scientifique se tourne alors vers eux !
Ce n’est pas le premier livre du Dr Ádám Sturm et du Dr Tibor Vellai. En effet, ils ont déjà réalisé des études similaires dans le passé. C’est le cas du livre « La voie Piwi-piRNA : la route vers l’immortalité », qui traite des cellules souches cancéreuses.
La portée de cette découverte !
Dans un communiqué officiel, un des scientifiques déclare : « Dans nos expériences sur la durée de vie, en régulant simplement à la baisse les ET ou en surexprimant somatiquement les éléments de la voie Piwi-piRNA, nous avons observé un avantage statistiquement significatif en termes de durée de vie ».
Il ajoute également : « Cela ouvre la porte à une myriade d’applications potentielles dans le monde de la médecine et de la biologie ». Son collègue, quant à lui, déclare : « Cette modification épigénétique pourrait ouvrir la voie à une méthode permettant de déterminer l’âge à partir de l’ADN, fournissant ainsi une horloge biologique précise ».
