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Suicide : une nouvelle découverte majeure montre un point commun entre toutes les personnes qui se donnent la mort

Publié par Claire JONNIER le 09 Fév 2021 à 17:28
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Le suicide reste incompréhensible pour le genre humain. D’où vient qu’une personne veuille à ce point mettre fin à ses jours en laissant derrière elle ses proches et son entourage. Or, récemment, une nouvelle découverte scientifique majeure pourrait bien permettre de faire un pas de plus dans la prise en charge des personnes dépressives.

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Nouvelle avancée scientifique pour les personnes décédées par suicide

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800 000 personnes meurent du suicide chaque année. Un chiffre impressionnant pour un acte qui reste, pour le moment, sans réponse. Or, récemment, une découverte scientifique majeure permettrait d’inverser cette tendance. En effet, les chercheurs se sont rendu compte que les personnes souffraient d’un « dysfonctionnement astrocytaire.»

Or, il faut savoir que les astrocytes « soutiennent le fonctionnement optimal des neurones du cerveau.» Dès lors, une carence ce niveau-là ne permettrait pas au cerveau de fonctionner correctement. Voilà pourquoi, les scientifiques sont très optimistes pour le « développement de meilleurs traitements de santé mentale.»

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L’œuf ou la poule ?

D’où vient que des personnes déprimées puissent avoir envie de mettre fin à leurs jours ? Est-ce en raison d’un dysfonctionnement neuronal présent à l’origine ? Ou alors, est-ce qu’il s’agit de l’addition de plusieurs événements qui entraînent un chamboulement dans les circuits neuronaux ?

Une question qui mérite d’être posée dans la mesure où la seconde éventualité invaliderait complètement la promesse d’un traitement médicamenteux qui finalement, n’arriverait qu’en dernier recours. Pour le dire autrement, si le mal-être de la personne n’est pas pris en charge à la base, alors le médicament n’est qu’un pansement qu’il faut sans arrêt renouveler.

D’ailleurs, comment ignorer le témoignage de proches de personnes décédées par suicide qui attestent que juste avant l’acte, elles vivaient pour le moins normalement et semblaient, très étonnamment, épanouies.

En tous les cas, cela reste une découverte scientifique majeure qui pourrait apporter une solution de soutien aux personnes dépressives.

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Source : Futura Santé

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