Cancer : Cette incroyable découverte pour les malades
Des chercheurs américains sont parvenus à synthétiser l’éleucérobine en laboratoire. C’est un produit chimique créé par un type de corail mou que l’on retrouve au large de la Floride (USA). C’est aussi une découverte majeure qui va peut-être changer la façon de traiter le cancer.
De base, l’éleucérobine permet aux coraux de se protéger des prédateurs. Mais les chercheurs ont aussi découvert que cette molécule empêchait le développement des cellules cancéreuses.
Une découverte datant des années 90
Le monde scientifique est déjà au courant, depuis les années 90, que l’éleucérobine possède des propriétés anticancéreuses. Mais jusqu’à maintenant, personne n’était encore parvenu à recréer le code génétique pour le synthétiser.
Contrairement aux autres composés découverts chez les animaux, l’éleucérobine est fait pour être ingéré (plus digeste). Cette molécule peut être administrée sous forme de pilule si elle devenait un médicament. L’étude publiée dans la revue « Nature Chemical Biology » a déclaré que des tests pour vérifier l’efficacité de l’éleucérobine contre le cancer seraient faits s’ils pouvaient en produire en grande quantité.
En 2019, une société affirme pouvoir développer un traitement contre le cancer
Souvent, des sociétés médicales du monde entier, ont déjà annoncé avoir trouvé le remède universel contre le cancer. Pourtant on n’a jamais vu la once d’un résultat. Comme en 2019, où des chercheurs israéliens annoncent une solution à tous les cancers. Ils assuraient pouvoir proposer « ce traitement complet contre le cancer » d’ici 2020.
Please stop boosting the Israeli biotech claiming a cancer cure within a year. I can find very little published data, and the in vitro data on their website is underwhelming at best.
They’re selling unicorns.
— Dr Darren Saunders (@whereisdaz) January 29, 2019
Il faut donc attendre les résultats des autres médecins. Pour le « remède miracle » des chercheurs israéliens, beaucoup de scientifiques avaient pris la parole pour dénoncer le manque de crédibilité dans ces recherches. Comme le biologiste australien, Darren Saunders qui avait tiré la sonnette d’alarme. « Je n’ai pu trouver que très peu de données publiées et les données in vitro sur leur site web sont au mieux décevantes » .