Des savants chinois créent un virus mortel et font craindre le pire
Des chercheurs chinois viennent de mettre au point en laboratoire un coronavirus mortel pour 100 % des souris infectées en moins d’une semaine.
De quoi faire frémir la communauté scientifique internationale, qui redoute plus que toute l’émergence d’un nouveau germe capable de provoquer une pandémie mondiale encore plus meurtrière que le Covid-19.
Une expérience scientifique extrêmement risquée
C’est une étude pas encore publiée qui suscite déjà une vive polémique au sein de la communauté scientifique. Des chercheurs chinois ont en effet transformé un coronavirus de pangolin baptisé GX_P2V pour le rendre fatal à 100 % chez des souris de laboratoire génétiquement modifiées pour exprimer des protéines naturelles. Le but ? Analyser la capacité de ce virus à contaminer l’homme.
Résultat : la totalité des rongeurs infectés sont morts en l’espace de 7 à 8 jours par ailleurs, dans un délai que les chercheurs eux-mêmes qualifient « d’étonnamment rapide ». Surtout, des niveaux très élevés du virus ont été retrouvés dans le cerveau et les yeux des souris, contrairement au Covid-19 qui infecte plutôt les poumons. Selon les chercheurs, c’est cette infection cérébrale massive qui serait la cause principale de la mort des souris.
Des risques énormes en cas de fuite accidentelle
Ce qui inquiète le plus la communauté savante, c’est le danger que représenterait une fuite accidentelle d’un tel virus très pathogène et mortel pour l’homme. C’est de la folie pure, tout à fait inutile d’un point de vue scientifique et très risqué, s’insurge un expert en maladies infectieuses. Et il n’est pas le seul. Un autre professeur déplore que l’article ne précise absolument pas les mesures de sécurité biologique employées pendant ces travaux. Cela laisse craindre que cette recherche ait été effectuée sans aucune précaution, exactement comme à Wuhan juste avant l’émergence du Covid.
Rappelons en effet que l’officine de virologie de Wuhan est fortement soupçonnée d’être à l’origine de la pire pandémie du siècle. Une fuite accidentelle avait peut-être eu lieu à l’époque, permettant au virus de s’échapper du laboratoire où il était étudié. Si une telle négligence se reproduisait avec ce nouveau virus mutant, les conséquences pourraient être complètement catastrophiques.
Des chercheurs liés à l’armée chinoise et au labo de Wuhan
Nouvel élément troublant : l’équipe de savants à l’origine de ces travaux controversés entretient des liens étroits avec le gouvernement chinois et le fameux laboratoire de Wuhan. L’un des spécialistes n’est autre que le Dr Yigang Tong, formé à l’Académie des Sciences médicales militaires entre 1988 et 2000. Il a également cosigné début 2023 une étude avec la célèbre « Madame de Chauvesouris », la responsable du laboratoire incriminé dans la fuite originelle du SARS-CoV-2.
On est donc en droit de s’interroger sur les véritables motivations derrière ces expériences risquées. S’agit-il uniquement de faire avancer la recherche scientifique ? Ou bien ce virus mutant a-t-il été conçu dans un but différent, par exemple militaire ? Il est permis d’avoir des doutes quand on sait les liens étroits entretenus par certains de ces scientifiques avec l’armée chinoise. D’autant que la Chine est soupçonnée depuis longtemps de mener secrètement des programmes d’armes biologiques interdits par des conventions internationales.
Vers une nouvelle pandémie incontrôlable ?
Quoi qu’il en soit, la communauté scientifique internationale est vent debout contre de telles expérimentations jugées beaucoup trop dangereuses. Et pour cause : si le Covid-19 n’a fait « que » 7 millions de disparus dans le monde, un virus mutant aussi létal que celui créé en labo par ces scientifiques chinois pourrait entrainer une hécatombe globale aux conséquences apocalyptiques.
Imaginons un instant ce qui se passerait si un virus provoquant 100 % de mortalité chez l’homme venait à s’échapper par accident ou négligence du laboratoire de Pékin… La pandémie actuelle nous a donné un avant-gout de ce à quoi pourrait ressembler une pareille catastrophe sanitaire planétaire. Confinements à répétition, effondrement des systèmes de santé, pénuries de masques et de médicaments, fermeture des frontières, etc.
Un fort taux de mortalité
Sauf qu’avec un taux de mortalité de 100 %, ce ne sont pas quelques millions de personnes qui décèderaient, mais potentiellement des milliards ! Le virus se répandrait à la vitesse de l’éclair aux quatre coins de la planète, décimant littéralement la population mondiale. Plus personne ne pourrait travailler ni assurer les services essentiels — transports, énergie, ravitaillement alimentaire, etc. L’économie et la société s’effondreraient en quelques semaines à peine.
Nous retomberions dans un Moyen-Âge dystopique où la survie dépendrait de la chance et des réflexes de préparation de chacun. Ceux qui auraient eu la présence d’esprit d’accumuler des provisions avant la crise s’en sortiraient peut-être. Les autres succomberaient de faim ou des effets du virus. Mais au final, personne ne serait vraiment à l’abri et l’avenir de l’empathie elle-même serait remis en cause…
Bref, le scénario du pire qui hante les spécialistes des pandémies. Jusqu’à présent, l’humanité a eu de la facilité. Le Covid-19 s’est révélé beaucoup moins mortel que la peste ou la variole. Mais si un virus combine un fort taux de létalité et une transmission commode entre humains. Nous aurons du mal à échapper à l’hécatombe…
La communauté scientifique vent debout
Heureusement, la communauté scientifique semble unanime pour condamner de telles expérimentations menées en Chine. Même si tous les détails de l’étude n’ont pas encore été rendus publics, les informations disponibles suffisent à provoquer l’indignation. Car le danger est réel de voir ce virus ou un autre tout aussi mortel entrainer une nouvelle pandémie incontrôlable.
Au nom du principe de précaution, plusieurs experts réclament l’arrêt immédiat de ces études. Ils mettent autant en doute les affirmations de l’équipe chinoise selon lesquelles tous les dispositifs de sécurité auraient été respectés. Comment être surs que ce germe différent ne s’échappera pas accidentellement pour décimer l’humanité ? Personne ne peut le garantir.
C’est bien le problème de la recherche en virologie. Elle joue littéralement avec le feu sans mesurer tout à fait les risques qu’elle fait peser sur le monde. Certes, davantage vaut anticiper l’apparition des virus meurtriers pour s’y préparer. Mais faut-il pour autant en créer artificiellement de néophytes encore plus dangereux ?
Quand on voit les dégâts causés par le Covid-19, on imagine sans peine l’impact dévastateur qu’aurait un virus conçu en particulier pour tuer… Alors, ces expériences doivent-elles être arrêtées ou au contraire encouragées pour mieux nous protéger ? Le débat fait rage.
En attendant, les spécialistes recommandent la plus grande prudence. Ils conseillent aux laboratoires impliqués dans ce type de recherches à risque de renforcer drastiquement leurs mesures de sécurité. L’idéal serait encore de délocaliser ces travaux dans des installations isolées, par exemple en Antarctique ou dans le désert, loin des zones densément peuplées.
Histoire de minimiser les conséquences en cas de fuite ou d’accident… Car le risque zéro n’existe pas ! Même avec toutes les précautions du monde, une erreur humaine ou un concours de circonstances malheureux peuvent entrainer une catastrophe sanitaire planétaire. Bref, la prudence s’impose plus que jamais.
Vers un accord international de limitation des dangers ?
Dès lors, certains experts en protection sanitaire préconisent une entente globale pour encadrer et restreindre ce type de développement hyper hasardeux. À l’image du Traité de non-prolifération sur les armes nucléaires, un tel accord viserait à interdire les expérimentations les plus nocives tout en autorisant celles jugées utiles et indispensables, moyennant le respect de protocoles de sureté drastiques.
L’idée serait non moins de favoriser la coopération scientifique afin que les chercheurs des différents pays unissent leurs efforts contre les virus tueurs plutôt que de travailler chacun dans leur coin. Une plus grosse transparence permettrait aussi de réduire les risques en identifiant les maillons faibles au niveau sécuritaire.
Reste à connaitre si les grandes puissances entérineront de renoncer à leurs programmes secrets et de partager leurs expérimentations en matière de virologie militaire. Rien n’est moins sûr… Quant aux régimes comme la Corée du Nord, difficile d’imaginer qu’ils se plieront un jour à de pareilles exigences éthiques. Mais sait-on jamais ? Si le danger d’anéantissement de l’humanité est jugé suffisamment sérieux. Alors les pires ennemis accepteront de collaborer pour empêcher l’extinction de notre espèce…
Et si c’était l’ultime avertissement ?
Certains spécialistes n’excluent pas non plus l’hypothèse que ce genre d’expériences dangereuses aboutissant à la création de virus mortels soit en fait une sorte de dernière réprimande de Dame nature. Comme pour nous dire : « Attention, les humains, vous êtes allés trop loin dans la manipulation du vivant. Ce n’est pas parce que vous en avez désormais la capacité technologique que vous devez jouer à l’apprenti sorcier. Souvenez-vous que vous faites partie d’un équilibre naturel complexe qui vous dépasse ».
En tout cas, pour certains penseurs, il ne fait aucun doute que ces épidémies à répétition sont le signe que nous sommes rendus trop au loin dans notre volonté de dompter les forces du vivant. À défaut de nous remettre en question rapidement. Dame Nature pourrait décider de corriger elle-même ses excès pour rétablir la stabilité vitale… quitte à sacrifier l’humanité si elle le juge nécessaire !
Espérons que les dirigeants et les scientifiques l’entendront avant qu’il ne soit trop tard. Sinon, gare à l’ultime virus qui signera peut-être l’arrêt de mort de notre civilisation ! Le compte à rebours est lancé…