Vaccin anti-Covid : déjà deux personnes auraient mal réagi au vaccin Pfizer/ BioNTech
Alors que deux vaccins sont mis en place pour combattre le Covid-19 dans le monde, l’agence britannique du médicament a indiqué que deux personnes ont mal réagi au vaccin. En cause, une réaction allergique face à, peut-être, certains composants. Les autorités sanitaires britanniques déconseillent donc de se faire injecter le vaccin aux citoyens ayant connu de fortes « réactions allergiques » par le passé.
>> À lire aussi : Coronavirus : une troisième vague est-elle à prévoir ? 3 scénarios possibles…
Deux patients ont mal réagi au vaccin Pfizer/ BioNTech contre le coronavirus
Au Royaume-Uni, les autorités sanitaires mettent en garde les citoyens. Alors que la campagne de vaccination bat son plein dans le pays, deux patients ont très mal réagi à la première injection du vaccin contre la Covid-19. Le Royaume-Uni, qui vaccine la population dite « vulnérable » depuis le 8 décembre, met en garde les personnes ayant connu « d’importantes réactions allergiques » dans le passé. « Deux personnes ayant connu des réactions allergiques importantes ont mal réagi » explique le directeur médical du service national de santé de l’Angleterre. La cause de cette mauvaise réaction serait donc due simplement à des allergies puissantes dans le passé.
« Les deux se remettent bien »
À cette heure, nous pouvons tout de même dire que « seulement » deux personnes ont mal réagi au vaccin, même s’il est trop tôt pour une conclusion positive du vaccin. Cependant, le service national de santé de l’Angleterre tient à rassurer le plus possible, et assure que « les deux se remettent bien » . À cause de leurs allergies, les personnes doivent, depuis des années, toujours avoir de l’adrénaline sur elles. Une recommandation a été déposée par l’agence britannique pour ne pas vacciner les citoyens « ayant un historique de réaction allergique importante à des vaccins, des médicaments ou de la nourriture » afin d’éviter de nouvelles réactions négatives à l’injection du vaccin.
>> À lire aussi : Covid-19 : plus de vaccin mais un médicament pour lutter contre le virus ?