Septième vague : Cette inquiétante nouvelle qui vient de tomber
Ce jeudi 14 juillet 2022, Santé publique France tire la sonnette d’alarme. En effet, en ce moment, les cas de contaminations au Covid-19 explosent. La France fait donc face à sa septième vague d’épidémie. Le plus inquiétant dans tout ça ? Les hospitalisations sont en forte hausse et continuent d’augmenter de jour en jour.
Le nombre d’hospitalisations en augmentation
Ce 14 juillet 2022, les inquiétudes des corps médicaux sont au summum. Pour cause, les hospitalisations en France sont en très nette hausse depuis la semaine dernière. Actuellement, le nombre d’hospitalisés à cause du coronavirus a augmenté de 19 % en seulement 7 jours. Une terrible nouvelle selon Santé publique France. D’autant que, comme nous le savons, le nombre de décès augmente également en Europe.
Pour l’heure, cette septième vague épidémique a causé 8063 nouvelles hospitalisations. Et ce, entre le 4 et le 10 juillet 2022. Mais ce n’est pas tout. Toujours d’après Santé publique France, les admissions aux soins critiques ont aussi augmenté cette semaine. 761 nouvelles entrées ont été enregistrées. Cela équivaut à une hausse de 22 % en seulement une semaine. Et au niveau des décès, ce n’est pas mieux. En effet, 389 morts ont été recensés en une semaine, soit une augmentation de 29 %.
La septième vague va crescendo
Une terrible nouvelle qui a donné lieu a un nouveau texte de loi pour lutter contre le Covid-19. Mais, les députés ne s’attendaient peut-être pas à un bilan aussi catastrophique. Actuellement, la France enregistre une moyenne d’environ 130 000 nouveaux contaminés par jour. Par ailleurs, l’augmentation des cas et des hospitalisations est encore en cours. C’est-à-dire que nous sommes en plein dedans.
Sur les trois derniers jours de la semaine passée, nous observions encore une augmentation de 22 % pour les nouvelles admissions à l’hôpital. Pour ce qui est des entrées aux soins critiques, elles avaient encore augmenté de 32 %. Et cela n’est vraisemblablement pas prêt de s’arrêter, selon Santé publique France.