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🩺 Selon une étude, ces moyens de contraceptions peuvent augmenter le risque de crise cardiaque et d’AVC

Publié par Amõn Dissa le 22 Fév 2025 à 7:25

Une nouvelle étude met en lumière un lien entre certains contraceptifs hormonaux et un risque accru de crises cardiaques et d’accidents vasculaires cérébraux (AVC). Si les chercheurs soulignent que le risque absolu reste faible, ces résultats pourraient avoir des implications importantes pour les femmes utilisant ces méthodes de contraception.

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🏥 Une étude d’ampleur sur l’impact des contraceptifs hormonaux

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Des chercheurs de l’Université de Copenhague ont mené une étude sur plus de deux millions de femmes âgées de 15 à 49 ans, en analysant leurs antécédents médicaux et leur utilisation de contraceptifs hormonaux. Sur une période moyenne de 11 ans de suivi, ils ont recensé 4 730 AVC et 2 072 crises cardiaques.

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Les contraceptifs étudiés incluaient : ✔️ Les pilules combinées (œstrogène-progestatif) ✔️ Les pilules progestatives seules ✔️ Les dispositifs intra-utérins hormonaux ✔️ Les implants contraceptifs ✔️ Les injections hormonales ✔️ Les patchs et anneaux vaginaux

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Les résultats indiquent que certains de ces contraceptifs présentent un risque cardiovasculaire plus élevé que d’autres.

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⚠️ Quels contraceptifs sont les plus à risque ?

📌 Les pilules combinées (œstrogène-progestatif) ➡️ Doublement du risque de crise cardiaque et d’AVC. ➡️ Méthode la plus couramment utilisée parmi les femmes de l’étude.

📌 Les contraceptifs progestatifs seuls (pilules et implants) ➡️ Risque légèrement augmenté, mais inférieur à celui des pilules combinées.

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📌 Les contraceptifs non oraux (anneaux vaginaux et patchs) ➡️ L’anneau vaginal est associé à un risque 2,4 fois plus élevé d’AVC et 3,8 fois plus élevé de crise cardiaque. ➡️ Le patch contraceptif est lié à un risque 3,4 fois plus élevé d’AVC.

Malgré ces chiffres, les chercheurs insistent sur le fait que le risque absolu demeure faible, mais qu’il est essentiel de bien évaluer chaque situation individuelle avant d’opter pour une contraception hormonale.

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🔬 Pourquoi ces contraceptifs augmentent-ils le risque cardiovasculaire ?

L’étude suggère que l’apport en œstrogènes contenus dans certaines pilules et dispositifs contraceptifs pourrait favoriser la formation de caillots sanguins. Ces caillots peuvent bloquer une artère et entraîner une crise cardiaque ou un AVC.

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🔹 L’effet des œstrogènes : Ils augmentent la coagulation du sang, ce qui peut entraîner des complications cardiovasculaires. 🔹 Impact sur la circulation sanguine : Certains contraceptifs influencent la pression artérielle et la fluidité du sang. 🔹 Interaction avec d’autres facteurs de risque : Tabac, obésité et hypertension accentuent considérablement ces dangers.

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💡 Alternatives plus sûres pour les femmes à risque

Heureusement, certaines méthodes contraceptives présentent un risque cardiovasculaire bien moindre. Parmi elles :

✔️ Le dispositif intra-utérin (DIU) au lévonorgestrel (hormonal) : Aucune augmentation significative du risque de crise cardiaque ou d’AVC. ✔️ Le DIU au cuivre (sans hormones) : Aucune influence sur la coagulation du sang. ✔️ Les méthodes de contraception non hormonales : Préservatifs, diaphragmes et spermicides.

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Les experts encouragent les femmes présentant des facteurs de risque cardiovasculaire à privilégier ces alternatives pour éviter d’accroître les dangers pour leur santé.

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🗣️ Avis des experts : ne pas arrêter sa contraception sans avis médical

Malgré les résultats de l’étude, les spécialistes mettent en garde contre un arrêt brutal de la contraception hormonale.

📢 « Le risque cardiovasculaire lié aux contraceptifs hormonaux est bien inférieur à celui observé pendant la grossesse ou en post-partum », explique le Dr Becky Mawson, spécialiste en santé reproductive.

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📢 « Les femmes qui ont des facteurs de risque devraient consulter leur médecin pour évaluer les alternatives les plus adaptées », recommande le Dr Channa Jayasena, endocrinologue.

Ainsi, si vous prenez une pilule contraceptive ou utilisez un dispositif hormonal, ne changez pas de méthode sans avis médical. Un bilan de santé permet d’évaluer le risque personnel et de choisir la contraception la plus adaptée.

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🔎 Un choix éclairé pour une santé protégée

L’étude met en évidence un risque accru de maladies cardiovasculaires avec certaines méthodes contraceptives, mais ce risque absolu reste faible. Les femmes doivent cependant prendre en compte leur profil de santé et leurs antécédents médicaux avant de choisir une contraception hormonale.

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🚀 Le conseil clé : discutez avec votre médecin des options les plus sûres pour vous !

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