Le ChemSex déferle sur Paris : la capital s’inquiète vivement !
Autrefois davantage plébiscité dans les relations homosexuelles, le phénomène du chemsex se développe dorénavant de plus en plus dans tous types de relations. Une récente étude publiée ce mercredi 24 novembre démontre, en effet, que la crise sanitaire a grandement aggravé cette pratique.
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Une association étonnante de consommation de drogues et de sexe
Ce mercredi 24 novembre, une étude présentée à l’Hôtel de ville de Paris dévoile que le « chemsex » se diffuse largement en France. Le phénomène, qui consiste à associer drogues et rapports sexuels, a été pleinement aggravé par la crise sanitaire. Désormais, il s’étend en dehors de la population gay…
Le « chemsex » désigne, comme vous l’aurez compris, le fait de consommer des produits psychotropes. Notamment drogues de synthèse. Dans le but d’intensifier et également de prolonger les actes sexuels. Et il s’avère que le phénomène s’est largement diffusé en dehors de la capitale, où il avait fait son apparition à la fin des années 2000.
Une étude réalisée sur près de 2800 personnes en France, dont environ 1200 pratiquants dévoile que plus de 25 % des pratiquants ne sont pas des hommes ayant des rapports avec des hommes. Et évoque ainsi une éventuelle diffusion du phénomène en dehors de sa population historique…
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Paris : ville historique du phénomène ChemSex ?
Selon Jean-Luc Romero-Michel, adjoint d’Anne Hidalgo si Paris essaie de prendre en main le sujet, c’est notamment car elle est une ville historique du Chemsex. Initialement vue comme une pratique réservée aux homosexuels, elle se diffuse dorénavant dans toutes les parties de la population. Et ce, quelle que soit leur orientation sexuelle…
De plus, le phénomène se serait multiplié à cause des confinements. Et il est également possible de trouver les produits utilisés en deux clics sur le web a des prix ridicules.
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