Reconfinement en Mars : ce spécialiste tire la sonnette d’alarme !
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C’est l’angoisse de tout le monde ! Depuis le début de l’année, tous les Français redoutent un nouveau confinement au mois de mars qui aurait un arrière-goût de déjà vu. Or, et selon l’épidémiologiste Arnaud Fontanet, on va tout droit dedans !
L’épidémiologiste Arnaud Fontanet alerte sur un nouveau confinement
Si tous les Français sont soulagés d’avoir mis l’année 2020 derrière eux, ce n’est pas pour autant que 2021 s’annonce sous de meilleurs jours. Alors certes, la vaccination est actuellement en cours, mais pour le moment, jugée encore trop lente. En tous les cas, elle n’endiguera certainement pas le rebond épidémique prévu au mois de mars par l’épidémiologiste Arnaud Fontanet.
« Les scénarios montrent qu’on devrait arriver à tenir jusqu’au mois de mars. Malheureusement, par rapport aux variants, qui sont vraiment un changement dans la donne de cette épidémie, je n’ai pas d’argument rationnel pour vous dire qu’on ne va pas subir une progression de l’épidémie qui pourrait commencer en mars-avril. » Pourtant, du côté du Royaume-Uni, les pouvoirs publics annoncent qu’ils auraient endigué cette nouvelle forme du covid-19. Mais les scientifiques restent prudents et surtout alarmistes sur leurs prévisions au printemps.
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D’énormes conséquences sociales et économiques !
Avec le secteur de la restauration à l’arrêt et les saisonniers des stations de ski en berne, un nouveau confinement serait un réel coup dur pour le pays. En tous les cas, le gouvernement a décidé de mettre tout en place pour éviter ce genre de circonstance. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle, ils ont décidé d’élargir le couvre-feu de 18 heures à l’ensemble de l’Hexagone.
Une décision saluée par l’épidémiologiste Arnaud Fontanet mais qui pourrait s’avérer insuffisante.« C’est bien d’essayer de tout tenter pour ne pas aller vers un confinement, qui est une mesure toujours extrêmement lourde au niveau économique et social. En gardant quand même en tête que plus les mesures sont prises tôt, plus elles sont efficaces, donc il y a un dilemme. » En attendant, tous les regards se tournent vers le vaccin qui sonne désormais comme la seule possibilité de revenir à une vie normale.
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