Dry January : quels sont les bénéfices et les limites du mois sans alcool ?
Cela fait maintenant quelques années que le Dry January remporte un franc succès en Angleterre, mais également, en France. Il faut dire qu’à l’issue de ce mois de sobriété, vous pourrez constater de nombreux bénéfices sur votre santé, ne serait-ce qu’en perdant du poids ou en ayant une plus belle peau. Mais cela suffit-il pour le reste de l’année ? Réponse !
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Dry January : les bénéfices d’un mois sans alcool
Avec les fêtes de fin d’année, le corps sature et il est grand temps de faire une pause. Et si certains envisagent une cure détox, d’autres passent à la vitesse supérieure avec le Dry January. Inventé en 2014 en Angleterre, c’est un véritable succès qui commence à conquérir la France. Il faut dire que les bénéfices sont nombreux sur la santé.
En effet, avec un mois de sobriété, vous pourrez attendre à dormir mieux, avoir une plus belle peau, à être plus en forme moralement et à perdre du poids. Par ailleurs, c’est également le moyen de pouvoir mieux se rendre compte de sa consommation d’alcool et donc, de réduire la voilure le reste de l’année. Mais est-ce vraiment le cas ?

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Les limites de ce genre d’initiative
Qui dit période de privation, dit forcément excès à l’arrivée. En tous les cas, il est très clair que pour le Dr Mark Wright, le Dry January peut se révéler être un véritable piège. « Cela ne va rien arranger si on reprend ensuite ses mauvaises habitudes dès le mois de février. » Pire, ça pourrait même encourager la boisson pendant les fêtes de fin d’année avant d’entamer un mois de privation.
Cependant, une étude récente réalisée à plus long terme par Rajiv Jalan, professeur en hépatologie, confirme que généralement, ce mois de sobriété est suivi tout au long de l’année. En effet, il constate que 30 % des participants à son étude consomment moins d’alcool en effectuant tout simplement une période de jeûne par an. Quoi qu’il en soit, cela dépend toujours de la relation qu’on entretient avec la boisson…
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