Covid-19 : le vaccin Pfizer pointé du doigt pour une raison précise… et dangereuse !
L’homme politique François Asselineau a avancé ces derniers jours que le vaccin Pfizer pourrait en effet « accélérer la propagation » du virus dans l’organisme. Alors, vérité vraie ou fake news ? Il s’agit en réalité d’une lecture erronée d’une étude allemande réalisée vis-à-vis un patient décédé. Ce dernier avait reçu une première dose du vaccin en janvier dernier.
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Le vaccin Pfizer pourrait-il accélérer la propagation du virus ?
François Asselineau multiplie les interventions face au vaccin Pfizer. Ce dernier se base notamment sur une étude allemande publiée en juin. Celle-ci est consacrée à l’autopsie d’un patient âgé de 86 ans qui avait reçu une première dose de vaccin en janvier dernier.
« Le vaccin ARNm (…) n’a pas semblé arrêter la propagation du virus (…) dans tout le corps », assure-t-il. Selon lui, les vaccins à ARN « peuvent peut-être (…) accélérer la propagation du Covid-19 ». Seulement, la lecture que François Asselineau fait de cette étude s’avère en réalité… erronée.
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Pour le professeur Torsten Hansen, c’est non
L’équipe allemande du professeur Torsten Hansen a réalisé cette étude suite à la mort d’un patient à l’âge de 86 ans. Ce dernier avait reçu une première dose du vaccin Pfizer quatre semaines avant son décès. D’abord hospitalisé pour une diarrhée persistante, soit 17 jours après sa vaccination. il sera alors testé positif au Covid-19 dès le lendemain.
L’autopsie a finalement révélé que neuf organes comportaient le code génétique du virus. Sur ces neuf organes, seuls sept présentaient de l’ARN viral, soit le signe d’un « stade précoce d’infection ». Auprès de France Info, Torsten Hansen explique : « C’est pourquoi (dire que) de l’ARN viral a été trouvé dans presque tous les organes du patient est tout simplement faux ».
L’équipe du professeur a ensuite confié que le patient ne présentait aucune des « caractéristiques morphologiques » de la Covid-19. Ainsi, l’étude conclut que le virus n’a pas causé le décès du patient et qu’il aurait bien profité d’une réponse immunitaire grâce à l’injection de la première dose de vaccin.
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