Covid-19 : la terrible découverte de l’OMS qui vient de tomber sur la transmission
Un collectif de 239 scientifiques a réalisé une étude qui prouve que le covid-19 se transmettrait via des minuscules gouttelettes qui resteraient en suspension dans l’air. Ils ont adressé une lettre à l’OMS, afin que cette organisation revoit ses recommandations à la hausse. Retour sur cette nouvelle de taille dans cette crise sanitaire sans précédant.
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L’OMS doit revoir ses recommandations sur le covid-19 pour protéger les citoyens
Depuis le début de la crise sanitaire, l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) oriente ses états membres dans la lutte contre le covid-19. Depuis le début, cette organisation soutient que cette maladie se propage via des grosses gouttelettes respiratoires, qui sont propulsées par les personnes infectées qui toussent ou éternuent. Ces gouttes contaminées retomberaient rapidement au sol.
À côté, l’OMS avait affirmé, le 29 juin 2020, que la transmission par voie aérienne n’était possible que dans certaines conditions, notamment après des procédures médicales qui produisent des aérosols et des gouttelettes de moins de 5 microns.
Depuis le déconfinement, de nombreuses personnes se sont réunies dans des espaces clos, à l’image des cafés et restaurants. Elles sont donc susceptibles de propager le covid-19, maladie ayant la particularité dangereuse de créer de nombreux cas asymptomatiques, qui transmettent la maladie sans la contracter. Cela pourrait expliquer l’émergence de clusters de contamination.
Les 239 chercheurs demandent donc à l’OMS d’agir en conséquence.
Les chercheurs remettent en question les conditions de transmission émises par l’OMS
Ces 239 chercheurs ont donc remis en question les recommandations de l’OMS. D’après une étude, qui sera publiée dans les prochains jours, le covid-19 resterait en suspension dans l’air.
Plus précisément, ces scientifiques affirment que le virus pourrait se transmettre via des petites gouttes beaucoup plus fines que celles éjectées par une quinte de toux ou un éternuement. Ces gouttelettes minuscules resteraient donc en suspension dans l’air et seraient susceptibles de contaminer les personnes respirant cet oxygène contaminé.
Pour permettre aux gouvernements d’adapter leurs normes sanitaires, ce collectif de chercheurs demandent à l’OMS de revoir ses recommandations et d’inclure cette nouvelle particularité. Dans ce cas, les états membres rendraient surement obligatoire le port du masque dans les endroits clos et adapteraient leur arsenal législatif sanitaire pour le rendre plus strict.
Source : LCI
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