Variants brésilien et sud-africain : la France prend des décisions radicales !
Pour éviter une nouvelle flambée des cas suite à la naissance de plusieurs variants du Covid-19, la Direction générale de la Santé (DGS) a publié une note d’urgence. La France doit mettre en place des mesures strictes afin d’éviter que les variants brésilien et sud-africain n’arrivent sur le territoire.
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Les variants brésilien et sud-africain du Covid-19 inquiètent
Alors que la France se débat avec le Covid-19 depuis un an déjà, de nouveaux variants apparaissent un peu partout sur le globe. Pour éviter une flambée des cas, la Direction générale de la santé (DGS) a publié une note d’urgence à l’attention des professionnels du secteur. Le sujet du jour : les variants brésilien et sud-africain.
Signée par Jérôme Salomon et publiée sur le site du ministère des Solidarités et de la Santé, la note d’urgence dévoile la stratégie à mettre en place pour éviter l’arrivée de ces variants sur le territoire. On découvre que la circulation des variants reste « minoritaire », mais présente « un risque d’échappement immunitaire et vaccinal ». Quelles sont les mesures à adopter ?
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Les mesures strictes contre les variants du Covid-19
Afin de faire face à ce nouveau danger, la DGS demande que chaque test PCR positif doive « obligatoirement faire l’objet d’une RT-PCR de criblage en seconde intention, réalisée dans un délai de 36 heures maximum, afin de déterminer qu’il s’agit d’une contamination par une variante d’intérêt ».
Si l’un des variants est détecté, le porteur doit respecter une quarantaine de 10 jours, car les variants du Covid-19 sont très contagieux.
En ce qui concerne les cas contacts :
- Ils doivent prévenir leur entourage d’eux-mêmes ;
- Idéalement, se mettre en quarantaine ;
- Renforcer le port du masque ;
- Télétravailler ;
- Réduire ses contacts durant 7 jours.
Attention, les cas contacts proches d’une personne positive aux variants, doivent se faire tester immédiatement. Si le test est négatif, il faut se placer en quarantaine et refaire un second test. Enfin, si un enfant est positif à un des variants ou cas contact, la classe doit fermer.
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