Mary Palmer, une coureuse de 80 ans, a récemment terminé le marathon de Barcelone. Elle a révélé le régime alimentaire et la routine d’entraînement qui lui ont permis de parcourir les 42 kilomètres.
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Une préparation rigoureuse dès l’aube
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Enseignante à la retraite, Palmer a participé au marathon ce dimanche. Née de parents écossais, elle a commencé son entraînement à 6h30 en préparation pour cette course dans sa ville natale. Se rendant à jeun dans un parc voisin, la femme de 80 ans a couru 10 tours d’un circuit de 1 km et a également monté des escaliers avant de prendre son petit-déjeuner.
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La coureuse amateur a organisé sa journée d’entraînement en trois phases. Face aux exigences physiques, elle s’est appuyée sur un petit-déjeuner simple mais équilibré. « Je prends du pain d’épeautre, avec du sésame et de l’huile d’olive, et un œuf dur tous les jours », a-t-elle confié au média espagnol COPE.
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Le pain et l’huile d’olive lui apportent des graisses saines et des glucides complexes pour maintenir son niveau d’énergie, tandis que l’œuf lui fournit les protéines nécessaires à l’entretien et à la récupération musculaire.
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Une routine bien rodée, entre infusions, course sur sable et baignade
Palmer ajoute une seconde étape à sa routine matinale : « Je prends une infusion de camomille, à laquelle j’ajoute du gingembre et du curcuma. Puis, juste avant de la boire, j’ajoute le jus d’un citron et une cuillère de miel. »
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Le curcuma et le gingembre l’aident grâce à leurs propriétés anti-inflammatoires, tandis que le citron lui apporte de la vitamine C et le miel un regain d’énergie.
Après le petit-déjeuner, elle se rend à la plage pour une course de 5 km sur le sable. Elle se rafraîchit ensuite en nageant dans la mer. Mais sa journée d’entraînement ne s’arrête pas là : elle termine par une course retour depuis la plage jusqu’à son domicile.
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« Je dois bien me préparer, c’est un grand défi. Je dépense de l’énergie pour pouvoir la récupérer et tenir les 42 kilomètres », explique-t-elle.
On rapporte que 27 000 personnes ont participé au marathon, mais seules quelques centaines avaient plus de 65 ans. Palmer insiste sur l’importance de rester en forme, tout en soulignant qu’un objectif caritatif est également au cœur de sa motivation à courir.
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Et elle n’est pas la seule à démontrer que l’âge n’est pas un frein à la performance : Deirdre Larkin, une coureuse de 85 ans, a récemment impressionné en réalisant un semi-marathon en 2h05. Un exploit rendu possible grâce à une hygiène de vie stricte et une discipline similaire à celle de Palmer.
Dans un autre registre, la détermination et la puissance mentale sont également incarnées par Phunjo Lama, une alpiniste népalaise qui a récemment battu le record féminin de l’ascension de l’Everest. Une autre preuve que les femmes, quel que soit leur âge, continuent de repousser les limites physiques et mentales à travers le monde.
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