Boire un verre d’alcool par jour ferait vieillir votre cerveau !
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Selon une récente étude de l’université américaine de Pennsylvanie, la consommation quotidienne de seulement deux verres par jour suffit à provoquer une contraction du cerveau et son vieillissement prématuré.
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Deux verres par jour diminuent la taille du cerveau
Personne n’est là pour faire de la prévention, tout le monde ici est majeur (en théorie) et vacciné (en plus petite théorie), mais il reste important de rappeler qu’il faut boire avec modération. En effet, une consommation excessive de spiritueux peut avoir de lourdes répercussions sur votre santé, comme déclencher des cancers de la bouche, de l’œsophage, de la gorge, ainsi que des maladies du foie et du pancréas. Cela peut également être la source de troubles psychiques comme la dépression, l’anxiété ou l’irritabilité.
Et ce n’est pas cette nouvelle étude qui dira l’inverse. En effet, des scientifiques de l’université américaine de Pennsylvanie ont publié leurs travaux le 4 mars 2022, à propos de la consommation d’alcool quotidienne. Résultat des courses ? Ils ont découvert que « la consommation d’alcool peut provoquer des dégâts structurels dans la matière cérébrale, ainsi qu’une perte de son volume. Et cela même avec une consommation limitée à une à deux unités d’alcool par jour, considérée comme une consommation « faible » par les chercheurs » , comme l’indique Ouest France dans un article à ce sujet.
Répercussions néfastes sur nos capacités cérébrales
Autre conclusion tirée par nos chercheurs relous, c’est que boire une unité d’alcool (en gros, une demi-bière) par jour ferait vieillir prématurément notre cerveau de six mois. Et si vous êtes gourmands et que vous buvez deux unités par jour, la sentence est plus sucrée également, puisque le vieillissement est cette fois-ci estimé à deux ans. Alors, toujours envie de boire du pinard ?
Et les hostilités ne sont toujours pas terminées. En effet, si les consommations sont encore plus denses et importantes, les répercussions peuvent être catastrophiques, et sans retour en arrière. C’est ce que confirme le Dr Bernard Basset, médecin spécialiste en santé publique et vice-président de l’Association nationale de prévention en alcoologie et en addictologie, qui précise dans l’article de Ouest France que « cela peut par exemple entraîner des encéphalites, qui sont des inflammations du cerveau ou encore le syndrome de Korsakoff, une altération du cerveau qui plonge le patient dans une forme de démence et d’amnésie » .
Bon, bah, la prochaine fois qu’on boira notre blanc sec, on y pensera (un peu).
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