« Elle allait forcément mourir » : les confidences déchirantes d’une mère interdite d’avorter de son bébé condamné au Texas…
C’est l’histoire déchirante du jour. Et pour cause… Aux États-Unis, Samantha Casiano, une mère de famille, a décidé de poursuivre l’État du Texas, dans lequel elle réside, en justice. La raison ? Alors enceinte d’un bébé condamné par la maladie, elle a reçu l’interdiction d’avorter. Aujourd’hui, elle condamne fermement cette décision et a décidé d’emmener d’autres femmes avec elle dans son combat…
>>> A lire aussi : Un médecin américain condamné pour avoir avorté une enfant de 10 ans après un viol
Interdite d’avorter, cette mère se bat pour sa cause
Samantha Casiano se serait bien passée d’une telle procédure. Mais pour son bébé, décédé après seulement quelques heures de vie, elle ira désormais se battre jusqu’au bout. En effet, pendant sa grossesse, cette mère de famille résidant au Texas a appris que son enfant était atteint d’une malformation du crâne et du cerveau. Et le verdict, malheureusement, est sans appel : le jeune pousse est tout simplement condamné.
Dès lors, la mère du bébé prend une décision radicale : mettre fin aux jours de son petit le plus vite possible pour lui éviter toutes souffrances supplémentaires. Mais, malheureusement, l’État du Texas, aux États-Unis, ne l’a pas suivie dans sa volonté… Interdite d’avorter, elle comprend alors qu’elle devra porter son bébé jusqu’à l’accouchement, avant que celui-ci ne décède rapidement. « C’était horrible, car je voulais que ma fille repose en paix le plus vite possible », déclare aujourd’hui celle qui a vu son enfant mourir seulement quatre heures après l’accouchement.
>>> A lire aussi : Horreur : une mère de famille tuée, son bébé arraché de son ventre
Le Texas, impitoyable sur l’avortement
Cependant, voilà. En 2022, la Cour Suprême des États-Unis a octroyé le droit aux États de légiférer eux-mêmes sur le droit à l’avortement. Et au Texas, le choix a été fait… de l’interdire. Aujourd’hui, après l’enfer vécu, cette mère a décidé de poursuivre l’État en justice. Avec d’autres mamans, Samantha Casiano pointe du doigt le flou quant aux exceptions accordées à l’interdiction de l’avortement pour des raisons médicales pas assez précises. Puisse-t-elle obtenir sa revanche et faire définitivement le deuil…
>>> A lire aussi : A Paris, des messages anti-avortement ont été placardés sur les Vélib