Il baisse son masque pour manger un pain au chocolat et… termine au commissariat !
Lorsqu’il finit sa viennoiserie et qu’il va jeter son emballage, cet homme s’est fait interpeller par deux policiers. L’homme explique qu’il a enlevé son masque uniquement pour manger. Toutefois, l’un des deux policiers ne veut rien savoir et l’emmène au commissariat.
>>> À lire aussi : Marie Garet en soins intensifs après a voir été battue par son compagnon? (VIDEO)
Verbalisé pour manger une viennoiserie dans les rues de Paris
Ce lundi 7 septembre, un homme de 37 ans a été interpellé à Paris. Il a été conduit au commissariat pour avoir baissé son masque sur son menton durant quelques minutes, le temps de manger sa viennoiserie.
En effet, sur la route du bureau, David s’arrête pour prendre un pain au chocolat dans une boulangerie. En ressortant de cette dernière, il abaisse son masque et mange sa viennoiserie. Alors, le jeune homme va croiser deux policiers.
« Il n’a pas voulu du tout comprendre, j’avais encore le papier du pain au chocolat, j’étais en train de mâchouiller. J’avais le masque juste baissé. Quand j’ai vu qu’il allait me verbaliser, je lui ai dit ‘mais vous êtes fou’. Et là, il m’a dit ‘Moi, on ne me traite pas de fou' », souligne l’homme.
>>> À lire aussi : Chevaux mutilés : un homme arrêté et placé en garde à vue
« C’est triste et drôle à la fois »
Alors, le policier lui somme de monter dans une voiture de police pour aller au commissariat. « On a remonté la rue avec le gyrophare en sens interdit à toute allure. Je savais que c’était disproportionné« , raconte-t-il.
Après seulement 10 minutes au commissariat, David est autorisé à repartir. Alors, le jeune homme ne comprend pas vraiment ce qu’il s’est passé : « C’est triste et drôle à la fois. Je pense que ce n’était pas responsable. Je m’étais décalé du trottoir, donc je n’étais pas en contact avec d’autres personnes. »
Aussi, avant son départ, David a été averti par les forces de l’ordre qu’il risquerait de recevoir une contravention de 135 euros pour non-port du masque et 68 euros pour outrage.
>>> À lire aussi : Drame : une enseignante décède du covid-19 en plein cours