« Je me suis fait voler » : Maeva Ghennam arnaquée à Dubaï ? Elle fond en larmes
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Être victime d’une arnaque est une chose terrible. Surtout lorsqu’on y perd de l’argent. C’est justement ce qui est arrivé à l’influenceuse Maeva Ghennam.
Sur les réseaux, la jolie brune craque complètement et explique à ses fans que son promoteur immobilier à Dubaï l’a escroqué et qu’elle a en fait payé pour une maison qui n’est finalement pas la sienne.
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Maeva Ghennam escroquée par un promoteur immobilier à Dubaï
Tout le monde connait Maeva Ghennam et ses multiples scandales. Accro à la chirurgie esthétique, la star de téléréalité est tellement populaire qu’elle a fait comme de nombreux autres influenceurs français : elle a déménagé à Dubaï.
Lieu idyllique, fiscalement intéressant pour un instagrameur, Dubaï est une ville également connue pour ses somptueuses villas, des bâtisses aux architectures extravagantes pour lesquelles il faut mettre la main au porte-monnaie.
Maeva Ghennam a évidemment passé le cap et a décidé d’acheter sa propre maison à Dubaï. Mais, le rêve a vite tourné au cauchemar, d’après l’influenceuse.
Sur Snapchat, elle s’est exprimé auprès de ses fans, furieuse et en larmes. Elle explique s’être faite arnaquer par le promoteur immobilier qui lui a vendu sa maison à Dubaï.
« Je ne suis pas bien, je vais mourir, je suis en larmes. Il m’arrive une dinguerie. Je me suis fait voler, je crois ! J’ai trop peur », a commencé Maeva Ghennam sur les réseaux.
« J’ai acheté une maison il y a plus d’un an. Elle n’était pas encore construite, ce n’était que des briques. Je vais voir le promoteur pour lui dire que je veux acheter la maison. Il me dit : ‘Ok, mais il faut faire une avance« , détaille l’influenceuse.
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Une arnaque qui lui a coûté au moins 500 000 euros
« Je lui donne 500 000 euros et il me donne le papier. Il me dit que la maison est finie dans un mois. Au bout de quatre mois, ça n’avance pas. Alors, je m’embrouille avec lui ! Il me fait galérer, puis finit la maison huit mois plus tard« , ajoute alors Maeva Ghennam, en pleurs.
L’homme avait augmenté le prix de la maison au moment de la signature chez le notaire. Premier signal d’alerte. Mais, Maeva Ghennam vient en plus d’apprendre que le promoteur n’était pas du tout la propriétaire.
« Je pète un câble. J’ai signé des papiers sans comprendre parce que je ne parle pas un mot d’anglais. Alors, je fais la pigeonne et je paye en plus », a déclaré Maeva Ghennam.
« Quand j’engage l’architecte pour faire les travaux, il me demande les papiers de la maison, car, pour commencer, il faut des autorisations », explique celle qui est en guerre contre Booba.
« Il m’apprend que le promoteur n’a pas mis les papiers à mon nom. Pour Dubaï, je suis propriétaire du terrain, mais pas de la maison ! Elle ne m’appartient pas », conclu Maeva Ghennam.
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