300 os retrouvés au fond de l’étang d’un riche héritier : A-t-on mis la main sur un serial killer ?
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Un riche héritier thaïlandais de 40 ans, accusé d’avoir tué sa petite amie et de l’avoir démembrée, aurait peut-être fait de nombreuses autres victimes. Aurait-on démasqué un serial killer, c’est ce que se demande maintenant la police thaïlandaise qui commence son enquête. Plus de 300 os ont été trouvés dans l’étang de son jardin.
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Arrêté pour le meurtre de sa petite amie, la vérité pourrait être pire
En août dernier, Aichai Ongwisit, un riche homme d’affaires avait été arrêté à Bangkok, soupçonné d’avoir assassiné sa petite amie, Warinthorn Chaiyachet, 22 ans. La police était arrivée chez lui, suite à une dénonciation anonyme. Sur les lieux, la victime avait été retrouvée emballée dans des draps et enterrée dans le jardin. L’homme a avoué qu’il consommait de la drogue et maltraitait sa copine en la forçant notamment à dormir dans un cercueil en métal, lorsque celle-ci le menaçait de le quitter. Depuis lors, le meurtrier a avoué avoir tué sa petite amie, qu’il surnommait Kuk-kik. Cette semaine, les choses ont pris une autre tournure, laissant penser à la police qu’ils auraient entre leurs mains non pas un meurtrier mais un tueur en série.
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Les os retrouvés dans son étang pourrait faire de lui un seriak killer
Lors d’un interrogatoire sur les lieux du crime, la police a demandé à procéder à une fouille approfondie du domicile du meurtrier. En draguant l’étang au fond du jardin, ils ont repêché plus de 300 os. Pour sa défense, l’homme explique à présent que ces os ne sont pas des os humains. Selon lui, il possédait plusieurs garpiques alligator, des poissons pouvant mesurer jusqu’à 3 mètres de long. Les os sont donc en cours d’analyse. Il n’est donc pas encore possible de déterminer avec précision que ce sont des os humains. Néanmoins, le chef de la police a indiqué qu’ils avaient fait le rapprochement entre plusieurs cas de jeunes femmes portées disparues qui étaient aussi « des amies, des petites-amies et des prostituées » de l’accusé.
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Crédits : Viral Press
