« N’importe quoi » : Vives tensions entre Valérie Pécresse et Anne-Sophie Lapix sur France 2 (vidéo)
Valérie Pécresse a pu évoquer son programme politique avec Anne-Sophie Lapix ce mardi 15 février. Mais un sujet a donné lieu à de vives tensions entre les deux femmes : la politique européenne et plus particulièrement, l’adhésion de la Turquie. Découvrez l’échange tendu dans la vidéo ci-dessous :
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Le programme évolutif de Valérie Pécresse
Invité de l’émission 20h22 de France 2, Valérie Pécresse a eu l’opportunité de peaufiner son discours en vue de la Présidentielle. Malheureusement, la candidate s’est emmêlée les pinceaux au point de se contredire. En effet, Anne-Sophie Lapix lance l’échange en évoquant la politique européenne et l’adhésion de la Turquie : « Vous avez dit que vous allez réduire le budget de la France à la contribution de l’Europe, notamment celle qui permet de financer l’aide aux pays qui aimeraient adhérer à l’Union Européenne… ».
La candidate s’empresse de contredire la journaliste : « Pas du tout ! Seulement à la Turquie ! (…) Moi, je ne souhaite pas que la Turquie rentre dans l’Union européenne ». Elle poursuit : « J’ai demandé qu’on arrête la pré-adhésion de la Turquie ! (…) La contribution française, elle doit baisser parce qu’on doit renégocier en 2026 notre contribution, parce que depuis le départ des Britanniques, on paye trop ».
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Valérie Pécresse critique Anne-Sophie Lapix
Étonnée, la journaliste fait une mise au point : « Votre programme a l’air très évolutif ce soir. Pourtant, tout ce que je dis, c’était dans votre programme. Il y a une fameuse mesure qui permet de financer les pays qui veulent adhérer à l’Union européenne ». Finalement, Valérie Pécresse se permet de critiquer la présentatrice : « Madame Lapix, je ne dis pas que vous dites n’importe quoi, mais vous mélangez deux propositions… ». Ce que s’autorise également cette dernière : « Il y a donc une partie du programme qui a été effacée… ».
Un échange particulièrement tendu qui a permis de mettre au clair les propositions de la candidate. Cette dernière souhaite arrêter d’aider à financer « la pré-adhésion de la Turquie » et « renégocier la contribution de la France à l’Union européenne ».
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