Alcool, voyage, santé : Ces nouvelles taxes envisagées par le gouvernement
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À l’aube de l’année 2024, l’un des objectifs du gouvernement est de réduire la dépense publique. Un paramètre qu’il compte atteindre en augmentant quelques taxes. Au grand désespoir des Français.
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Taxes : le domaine de la Santé en tête de liste
Plusieurs domaines risquent de voir leurs taxes augmenter dans les mois à venir. C’est le cas du domaine de la Santé. Celui des arrêts maladies en particulier. Actuellement dans le viseur de Bercy, ces derniers vont être soumis à quelques règles.
Pour cause, « il y a des gens qui en abusent » , comme l’a souligné le ministre de l’Économie. L’occasion pour lui d’appeler à « responsabiliser » patients, employeurs et médecins.
Autre objectif de l’État concernant la Santé : l’augmentation de la franchise payée en pharmacie. « Il faut que chacun comprenne que quand on ne paie rien à la pharmacie, il y en a parfois pour 200 euros pour l’État » , a fait remarquer un conseiller municipal interrogé par TF1.
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Taxes sur l’alcool et les billets d’avion
Les taxes sur l’alcool sont également l’une des mesures envisagées par Bercy (0,3 centime/bouteille sur le vin et 1 à 2 euros sur les alcools forts). En effet, le 12 juillet dernier, Bruno Le Maire a évoqué le sujet. Une mesure décriée par plusieurs élus.
Pourtant, son rendement pourrait atteindre jusqu’à 300 millions d’euros. Affaire à suivre…
Les transports pourraient également être mis à contribution dans cette stratégie gouvernementale. Ainsi, Bercy envisage des taxes sur les concessionnaires d’autoroutes. Que les usagers se rassurent cependant, elle ne devrait avoir « aucun impact » sur les péages, à en croire Clément Beaune, ministre délégué des Transports.
« Il y a une discussion sur la taxation des sociétés d’autoroute » , explique le ministre. Et ce, afin de financer la transition écologique, notamment dans l’infrastructure ferroviaire, détaille TF1info.
Toujours selon Clément Beaune, les mêmes discussions entourent d’éventuelles taxes sur les billets d’avion. « L’idée, c’est de surtout taxer les billets en première classe ou en business, pour l’opinion, c’est plus acceptable » , a-t-il déclaré.
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