Maeva Ghennam poursuivie en justice par Magali Berdah pour menaces de mort
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La guerre entre Magali Berdah et Maeva Ghennam vient de prendre un tournant majeur. Selon les informations de Paris Match dévoilées vendredi 19 janvier 2024, l’ancienne papesse des influenceurs aurait porté plainte contre son ancienne meilleure amie.
Elle est donc visée par plusieurs chefs d’accusation comme « menaces de mort ; provocation à la haine raciale ; cyberharcèlement ; chantage ; violences psychologiques ».
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Magali Berdah, seule et contre tous ?
Magali Berdah fait face à une nouvelle épreuve. En plus de sa descente aux enfers professionnelle avec la revente de sa société, l’argent qu’elle doit à beaucoup de gens, sa guerre contre Booba, ce sont aujourd’hui ses meilleures amies qui se retournent contre elle.
C’est le cas de Milla Jasmine et Maeva Ghennam qui reprochent à Magali Berdah de leur devoir plus de 650 000 euros. En guerre avec elle, l’ancienne compagne de Greg Yega s’est ensuite agacée de voir Magali Berdah soutenir l’Israël. Le conflit s’est intensifié avec un message vocal de Maeva Ghennam à Stéphane Teboul, le mari de Magali Berdah, dans lequel elle proférait des menaces de violences physiques envers le couple et leur fils.
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Elle porte plainte contre son ancienne amie
Et selon les informations de Paris Match dévoilées vendredi 19 janvier 2024, Magali Berdah aurait porté plainte contre son ancienne amie le 10 décembre dernier. Les motifs de la plainte comprennent des chefs d’accusation tels que « menaces de mort, provocation à la haine raciale, cyberharcèlement, chantage et violences psychologiques. »
L’avocat de Maeva Ghennam a fait savoir qu’il n’était pas au courant de la plainte. Dans celle-ci, Magali Berdah a dévoilé les menaces reçues de la part de son ancienne demoiselle d’honneur : « T’as vu c ta faute je vais te niket t mort le jour ou je te voi porte plainte j’irais en garde à vu mais par Allah jver te frapper comme personne ta frapper (sic) ».
Maeva Ghennam a répondu sur Instagram à l’article de Paris Match : « Elle me doit 500.000 euros, elle répond plus au téléphone. Bah oui je l’insulte, y’a quoi? (…) Voleuse, arnaqueuse (…) C’est pas la papesse, c’est la traitresse de l’influence (sic) ». Affaire à suivre.
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