« Je suis politicien, vous êtes une commentatrice » : Léa Salamé agacée par Bruno Le Maire, elle le recadre ! (vidéo)
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Ce mercredi 1er juin, Bruno Le Maire était présent dans la matinale de France Inter. Au cours de l’interview, Léa Salamé a totalement rabroué le ministre de l’Économie ! La journaliste n’a d’ailleurs, comme vous allez pouvoir le constater dans cette vidéo, pas du tout apprécié l’un des termes employé par l’homme politique afin de la désigner. Voyez plutôt dans la vidéo ci-dessous :
Léa Salamé très agacée par Bruno Le Maire !
En tant que journaliste, Léa Salamé est naturellement très attentive aux mots. Et ce mercredi 1er juin, la présentatrice a reçu Bruno Le Maire dans la matinale de France Inter. Pendant son interview, ce dernier a sévèrement critiqué Jean-Luc Mélenchon ! En effet, il déclare que celui-ci souhaite faire le bonheur des gens à leur place, et que pour le ministre, cela est similaire à une vision autoritaire de la politique.
Ensuite, il estime que Mélenchon a une vision collectiviste de l’économie alors que lui, de son côté, pense qu’il n’y a rien de pire pour une économie. Très vite, Léa Salamé l’interrompt. « On vous entend… Mais est-ce qu’il n’y aurait pas un peu de fébrilité à taper en permanence sur Jean-Luc Mélenchon ?« , lui a-t-elle demandé.
La journaliste n’hésite pas à enfoncer son invité !
Et de continuer : » Ne s’agit-il pas plutôt d’une façon de réveiller votre camp qui est, excusez-moi, très atone ?« . Bruno Le Maire, visiblement choqué par la question, lui répond par la négative : « Il y a de la détermination, […] je suis politicien, vous êtes une commentatrice. Chacun sa place et rôle« , a rétorqué le ministre de l’Économie.
Dès lors, Léa Salamé a vu rouge ! « Non, je suis journaliste ! Mon rôle est de poser des questions, je ne commente pas !« . En bon politicien, Bruno Le Maire a très vite corrigé ses propos ! « Oui, une journaliste, et donc vous pouvez donc poser toutes les questions que vous désirez. C’est votre rôle. Mais le rôle d’un politicien, c’est de défendre ses convictions« .
