Augmentation des impôts : Michel Barnier dévoile qui sera concerné (vidéo)
C’était une prise de parole très attendue. Ce dimanche 22 septembre 2024, Michel Barnier était invité sur France 2 dans le JT de 20 heures. Interrogé par Laurent Delahousse, le nouveau Premier ministre est revenu sur ses nouvelles mesures.
Et l’une d’entre elle a fait énormément parler, il s’agit de la hausse des impôts. L’occasion pour lui de revenir sur cette déclaration comme vous pouvez le voir dans la séquence en vidéo ci-dessous :
Michel Barnier revient sur ses mesures
Récemment nommé Premier ministre, par Emmanuel Macron, Michel Barnier a fait sa première prise de parole ce dimanche 22 septembre 2024. L’homme politique a rapidement pris position sur les questions fiscales lors de sa première grande interview sur France 2 dans le JT de 20 heures.
Face à Laurent Delahousse, il a abordé les premières grandes lignes de son programme et dans une récente interview, il avait fait savoir qu’il comptait augmenter les impôts. Une déclaration qui n’était évidemment pas passée inaperçue.
Dans un contexte économique tendu, marqué par une augmentation du déficit public prévu autour de 6 % pour 2024, Michel Barnier entend marquer une rupture nette en axant davantage sa politique sur une fiscalité plus équitable, notamment en s’attaquant aux « superprofits ».
Il a ainsi indiqué que les grandes fortunes et les multinationales seraient les principales cibles de cette nouvelle approche fiscale, tout en défendant l’idée d’une « justice fiscale ».
Le nom du nouveau Premier ministre dévoilé Le nom du nouveau Premier ministre dévoilé
Il revient sur sa déclaration
Sur le plateau de Laurent Delahousse, le Premier ministre a tenu à rassurer la classe moyenne et les foyers modestes, affirmant qu’il n’était pas question d’augmenter leur imposition. « Je ne vais pas alourdir encore l’impôt sur l’ensemble des Français qui payent déjà le plus d’impôts de tous les partenaires européens », a-t-il martelé.
Il a cependant laissé la porte ouverte à une possible révision de l’Impôt de solidarité sur la fortune (ISF), supprimé lors du premier mandat d’Emmanuel Macron, sans donner de réponse précise à ce sujet. Des propos qui risquent de soulager les Français.