Edouard Philippe : ce terrible événement qui a bouleversé sa vie
Edouard Philippe est sans aucun doute l’une des personnalités politiques qui fait le plus parler. L’un de ses amis, le boxeur Jérôme Le Banner a accordé une interview au Parisien en mai 2017. Dans cette dernière, il s’est confié sur sa relation avec l’homme politique et surtout sur l’événement survenu en 2014 qui a totalement bouleversé sa vie.
Edouard Philippe, une personnalité politique très appréciée
Edouard Philippe sera-t-il le nouveau président de la République ? C’est la question que de nombreux Français se posent. Et pour cause, le maire du Havre a été mis en lumière en devenant Premier ministre par Emmanuel Macron en 2017. Et malheureusement, tout ne s’est pas passé comme prévu pour lui.
En effet, Edouard Philippe s’est retrouvé face à une crise sociale sans précédent, celle des Gilets Jaunes puis une sanitaire, le Covid-19. Mais malgré tous ces désagréments, Edouard Philippe a réussi à maintenir une cote de popularité on ne peut plus élevée. Il fait aujourd’hui partie des personnalités politiques préférées des Français. Finalement, le vendredi 3 juillet 2020, il décide de quitter son poste au gouvernement et de retrouver cette ville qui lui est si chère, Le Havre.
Un événement douloureux
Mais la vie d’Edouard Philippe n’a pas toujours été si rose. Et pour cause, comme l’a raconté son ami le boxeur Jérôme Le Banner dans une interview au Parisien en mai 2017, l’homme politique a dû faire face à un événement marquant dans sa vie et qui l’a bouleversé à jamais, la mort de son père : « Je l’ai connu il y a deux ans et, au début, je crois qu’il avait besoin d’un exutoire pour faire face au décès de son papa. Il a trouvé la boxe et il s’est pris d’une vraie passion pour elle. Je crois même qu’une fois, alors qu’il était en vacances en Italie, il a fait un pari avec des amis : il est monté sur un ring pour un vrai combat de trois rounds ».
En effet, peu de gens le savent mais Edouard Philippe a perdu son père en 2014 des suites d’un diabète on ne peut plus violent comme raconté dans sa biographie, Le Sioux : « Quand il a décidé que maintenant ça suffisait bien, on lui avait déjà coupé un orteil, puis la moitié du pied, cette fois c’était la jambe et il m’a dit : ‘Ça suffit comme ça, je ne vais pas partir en morceaux.’ Il a donc arrêté les dialyses et on savait que ça lui laissait entre deux et trois jours ».