Corée du Nord : cette nouvelle loi du pays qui vient d’être votée est très inquiétante…
Suivez nous sur Google News
Voilà un moment que la Corée du Nord n’avait plus faite parler d’elle. En effet, le pays dirigé par le dictateur, Kim-Jong Un, s’est fait plus silencieux ces derniers mois. Mis à mal par la pandémie du virus de la Covid-19 qui a finalement terminé par frapper le pays, le voisin de la Corée du Sud semble avoir repris quelques forces. Du moins assez pour prendre de nouvelles décisions très inquiétantes. La dernière ne date pas plus tard… que ce vendredi 9 septembre.
La Corée du Nord fait voter une loi qui fait peur
C’est désormais officiel depuis ce vendredi 9 septembre. En effet, la Corée du Nord a définitivement voté une loi relative à son éventuelle arme nucléaire. Celle-ci stipule, notamment, que le pays dirigé par Kim-Jong Un peut à tout moment décider librement d’enclencher des attaques dites préventives. Mais qu’est-ce que cela veut donc bien dire ?
En réalité, ces attaques nucléaires préventives sont simples. Elles consistent à frapper les territoires ennemis qui tenteraient de menacer ou menaceraient déjà la Corée du Nord. Une loi qui, pour Kim-Jong Un, le célèbre leader dictateur, devenait plus qu’évidente : « Le statut de notre pays doté de l’arme nucléaire est devenu irréversible ». Jusqu’où va-t-il donc bien pouvoir aller ?
Montrer sa force et menacer ses ennemis
Ce n’est désormais plus un secret : la Corée du Nord pense que tous les pays du monde sont contre elle. Sauf la Chine et la Russie qui, comme elle, ont une façon de diriger assez féroce. Cette façon de penser, forcément, force le leader nord-coréen, Kim-Jong Un, à s’en prendre aux autres plutôt qu’à lui-même : « Il est totalement hors de question de renoncer à l’arme nucléaire. Il ne saurait y avoir de dénucléarisation ou de négociation ». Un discours qui peut s’avérer aussi effrayant qu’inquiétant. Et pour cause… Quand on voit comment Vladimir Poutine peut agir avec l’Ukraine, on ne préfère pas imaginer ce qu’il peut bien se passer dans la tête de Kim-Jong-Un.
