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« T’es mauvais » : Emmanuel Macron taclé méchamment par un proche

Publié par Justine le 24 Fév 2022 à 11:33
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En tant que Président, Emmanuel Macron doit maîtriser de nombreux sujets afin de mettre en place des mesures cohérentes. Il s’avère qu’avant de commencer son mandat, l’actuel Chef de l’État était « assez mauvais » sur les thématiques régaliennes. Explications.

Emmanuel Macron

@emmanuelmacron / Instagram

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« L’angle mort » d’Emmanuel Macron

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L’ouvrage de Corinne Lhaïk et d’Éric Mandonnet intitulé « La nuit tombe deux fois », révèle « l’angle mort » d’Emmanuel Macron. En effet, il est largement critiqué pour sa méconnaissance des « thématiques régaliennes », c’est-à-dire l’immigration, la sécurité ou l’islamisme. Dans ce livre, les auteurs dressent le bilan mitigé de son mandat.

Ils indiquent que les Français ne sont pas rassurés en ce qui concerne ces thématiques puisque « Emmanuel Macron ne cesse petit à petit de les balayer d’un revers de main », révèle Paris Match. Cette méconnaissance de ce sujet a toujours été sa faille. Lors de sa campagne en 2017, Didier Casas, ancien haut fonctionnaire et spécialiste de la sécurité et de l’immigration lui avait même dit : « Il faut que tu travailles le régalien, t’es assez mauvais ».

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Emmanuel Macron reste focalisé sur la question du chômage

Par ailleurs, toujours lors de sa campagne présidentielle de 2017, Emmanuel Macron se débarrasse de ces sujets en les donnant à Christophe Castaner, alors député du PS. L’actuel président, était persuadé qu’en « réglant la question du chômage », la délinquance baisserait également.

Mais en faisant ses recherches, le Chef de l’État « découvre vite la complexité du sujet, notamment celui de l’immigration, longtemps occulté ». Sa maîtrise du sujet sera mise à l’épreuve avec les attentats, la crise des Gilets Jaunes et la hausse de la délinquance. Finalement, les auteurs le comparent à ses prédécesseurs : « Nicolas Sarkozy a combattu mais déçu. François Hollande a tenté mais échoué. Emmanuel Macron a lutté mais éprouvé les limites de son volontarisme, les limites de sa plasticité, les limites de son efficacité ».

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Source : Gala

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