Alexis Corbière : victime d’un montage vidéo, il rétablit la vérité
Suivez nous sur Google News
Lors du premier meeting du Nouveau Front populaire à Montreuil, une vidéo montage d’Alexis Corbière fait le tour des réseaux sociaux, atteignant plus d’un million de vues.
Dans cette vidéo, l’ex-député aurait humilié Mathilde Panot de « poissonnière ». Présent sur place, Corbière est aperçu allant à la rencontre de Panot avant de rejoindre s’assoir. La polémique éclate rapidement, nécessitant une intervention publique de Corbière.
Sur son compte X, Alexis Corbière prend la parole pour clarifier la situation. Il dénonce un acte malveillant et assure n’avoir jamais injurié sa collègue. « Ce compte pseudonyme a publié un montage m’imputant une insulte machiste à l’endroit de Mathilde Panot », précise-t-il.
Selon lui, des proches de la direction LFI, notamment Caroline Fiat, ancienne vice-présidente de l’Assemblée, ont relayé la vidéo. Par ailleurs, Corbière explique avoir contacté Panot et Fiat afin de rétablir la vérité, mais sans succès.
Alexis Corbière dément formellement les accusations
Il précise le contenu réel de la discussion incriminée : assis à côté de Ian Brossat, celui-ci lui aurait demandé son avis sur les chances de victoire de Danielle Simonnet. Corbière aurait répondu positivement, qualifiant Simonnet de « bulldozer ». « Je suis navré de révéler la teneur d’entretiens personnelle, mais j’y suis contraint », ajoute-t-il. Ils ont déformé ces propos privés pour créer la polémique.
Pour renforcer son démenti, Alexis Corbière reçoit le soutien de Ian Brossat. Ce dernier, sénateur de Paris, confirme la véracité de la conversation rapportée par Corbière et dénonce la « calomnie totale » dont son collègue est victime. Cette confirmation publique apporte un éclairage primordial sur cet évènement.
En rétablissant la vérité, Alexis Corbière espère supprimer les tweets malveillants et recentrer le débat politique sur l’essentiel.. Une affaire qui rappelle l’importance de vérifier les sources et d’être vigilant face aux manipulations en ligne.
