« On va te mettre à poil tout de suite » : Yannick Noah fait des révélations terribles sur son enfance
Yannick Noah est de retour dans les médias. Le tennisman, parti revivre sur ses terres natales, le Cameroun, vient de dévoiler un documentaire sur Amazon Prime, Le sens de la gagne. À cette occasion, il s’est confié dans les colonnes du magazine Society ce jeudi 26 mai 2022 et il a accepté de se confier sur son enfance difficile.
Yannick Noah de retour
Après des années de silence, Yannick Noah est enfin de retour avec son documentaire diffusé sur Amazon Prime depuis le 20 mai, Le sens de la gagne. En effet, le chanteur phare des années 1990 – 2000 a connu une petite année de passage à vide loin des médias, notamment suite à sa séparation avec Isabelle Camus avec qui il a partagé sa vie pendant plusieurs années.
Dans un entretien accordé à Gala, le 18 mai dernier, il avait accepté de se confier sur cette vie amoureuse : « Non. J’apprécie ma liberté. J’ai donné. J’ai essayé. J’ai eu des enfants avec trois femmes et eu d’autres relations qui se sont toutes terminées. Quand il y a séparation, chacun est responsable du fait de ne pas avoir réussi à garder la flamme allumée. Mais là, c’est terminé. J’aime trop me réveiller le matin tout seul dans mon jardin. C’est trop bon » avait-il confié, visiblement sans regret.
Son enfance compliquée
À l’occasion de la sortie dudit documentaire, il s’est confié dans les colonnes du magazine Society. Le tennisman est revenu sur son enfance particulièrement compliquée marquée notamment par les remarques racistes : « Quand t’es môme, c’est plus les humiliations et les bizutages qui marquent. J’étais le plus petit et ils ne bizutaient pas ‘Bamboula’, ils bizutaient le petit nouveau, ça faisait partie du truc. On va te mettre à poil tout de suite, la b**e au dentifrice, la b**e au cirage, classique quoi. Je n’aimais pas ». Durant cette lourde épreuve, il n’a pas pu compter sur le soutien de ses parents : « Les parents étaient à l’autre bout du monde, il y a certains moments que j’ai détestés. Les premiers mois surtout, et après ça s’est tassé » a ensuite conclu Yannick Noah.