Vanessa Paradis (51 ans) évoque sans filtre ses petits excès : « J’aime trop…
Dans une interview accordée à l’édition française du magazine Harper’s Bazaar, Vanessa Paradis s’est confiée comme rarement auparavant sur ses addictions.
Vanessa Paradis au plus mal, ce que l’on sait Vanessa Paradis au plus mal, ce que l’on sait
Le temps passe vite. Ce n’est certainement pas Vanessa Paradis qui dira le contraire. À seulement 14 ans, l’interprète de Joe le taxi (1987) se trouvait déjà sous le feu des projecteurs.
Et malgré l’échec commercial de son premier album M&J, la jeune artiste a poursuivi son ascension. En effet, elle a su ajouter plusieurs cordes à son arc au fil des années.
En 1989, la comédienne, alors âgée de 16 ans, fait ses débuts au cinéma dans le film Noce Blanche. Une performance qui lui a valu le César du meilleur espoir féminin et le Prix Romy Schneider, en 1990.
Et l’année suivante, la native de Saint-Maur-des-Fossés est devenue l’égérie de la maison de luxe Chanel.
Autant dire que l’artiste de 51 ans a eu une carrière bien remplie. Elle ne compte cependant pas prendre sa retraite de sitôt.
Et dans les colonnes du magazine Harper’s Bazaar, l’intéressée s’est confiée à ce sujet. L’occasion pour elle d’évoquer ses addictions au tabac et à l’alcool.
« J’ai du mal avec la discipline »
Une fois passé le cap de la cinquantaine, il faut faire attention à sa santé. Loin de là l’idée de penser que les quadragénaires et les plus jeunes peuvent s’adonner à toutes sortes d’excès qui ne seront pas sans conséquences.
Toutefois, personne n’échappe au déclin physique. Alors qu’elle s’est confiée sur son rapport au temps qui passe et à la vieillesse, Vanessa Paradis a fait savoir :
« Quand on chante et on danse en arpentant la scène entre cour et jardin, qui plus est en fumant à côté, ça passe moins facilement qu’avant, et ça je le constate »
Grande amatrice de vins, la mère de Lily-Rose et Jack John, fruits de sa relation passée avec Johnny Depp, aurait toujours une bouteille dans sa loge.
De plus, elle serait une « grosse fumeuse » au quotidien. Et apparemment, la quinquagénaire a bien du mal à se débarrasser de ses addictions.
« J’aimerais être comme Mick Jagger à 80 ans, mais il ne fume pas, ne boit pas et fait du sport plusieurs heures par jour. Moi, j’ai du mal avec la discipline, j’aime trop les plaisirs de la vie pour arrêter les clopes et le verre de vin »
Vanessa Paradis évoque les diktats de la beauté
Au cours de cet entretien, l’ex de Florent Pagny a toutefois ajouté : « La clope, j’arrêterai un jour, mais pas pour me sentir belle, juste pour me sentir bien. Après, si ça peut faire les deux, ce n’est pas plus mal… ». Dans la foulée, l’interprète de Divine Idylle a anticipé la question de nos confrères sur un éventuel recours au bistouri.
« J’espère que votre prochaine question ne concerne pas mon rapport à la chirurgie esthétique (…) C’est toujours le même refrain. Vous n’avez pas remarqué ? C’est soit : ‘Oh putain, qu’est-ce qu’elle a pris cher !’, ou alors : ‘Oh putain, qu’est-ce qu’elle a fait ?’ On ne peut plus imaginer une seconde que les choses puissent se faire de manière naturelle, avec les bonnes crèmes et les bons massages »
Voilà qui est clair !